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Harris Dunbroch - petit ours... roux !

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Harris H. Dunbroch
Admin
Harris H. Dunbroch
Harris H. Dunbroch
Écus d'Or : 564
Âge : 25 ans
Harris Dunbroch - petit ours... roux ! Tumblr_mhtb2dojbI1r8nidqo1_500
Mon Histoire : Hamish est mort et habite le corps de son frère Harris. Ce dernier est allé le chercher dans les Mondes des Morts et il s’est retrouvé à partager son corps avec l’âme de son défunt frère dont il n’avait pas accepté la mort. C’était peut-être un peu irresponsable, il ne s’attendait pas à ce genre de situation. La cohabitation devient de plus en plus difficile et lui fait perdre la tête. – Il est à Riorim depuis un peu plus d’un an seulement, envoyé par le Lièvre de Mars après un conflit. Harris a compris rapidement où il était et s’est fondu au décor pour survivre et prend son mal en patience. Il n’est donc pas touché par le sort de l’Exile. – Il est apprenti boulanger sur l’île, ainsi il a un travail et gagne des sous afin de mieux survivre dans cette prison insulaire. Puis ça lui occupe l’esprit. Il aime particulièrement ce travail, loin de ses soucis et ses responsabilité en tant que Prince de Dunbroch. – Il vit chez Clochette sur l’île. Une sorte de colocation sauvage. Il n’est pas toujours là, des fois il est ailleurs quand il ne la supporte plus – Il ne parle pas seul, il parle à son frère. Ou alors c’est que c’est devenu une sale habitude. – Hamish est marié et Harris préfère les hommes. Ouais... Y’a des moments où c’est un peu compliqué.
Harris Dunbroch - petit ours... roux ! 2eokxoz
Schizophrénie : drago bludvist ⎪ebony whytestorme ⎪ vael moreau ⎪ louis white-rabbit
Messages : 218
Date d'inscription : 16/01/2017
Sam 28 Jan - 12:09

Harris & Hamish Dunbroch

the ginger power


nom. Dunbroch ou DunBroch, il est possible de voir les deux orthographe dans les parchemins et ouvrages.
prénom. Harris, du moins pour ce qui est du corps et l’âme de base, maintenant, il y a aussi Hamish avec qui il partage sa tête.  
âge. 25 ans.
conte. Rebelle/Brave
personnage. Harris et Hamish Dunbroch (Triplés)
date et lieu de naissance. Ils sont nés à la fin de l’hiver. Harris Il est le plus jeune des triplés et Hamish le plus grand.
situation familiale. Hamish est marié à la Reine Blanche, Adelaide Quincy. Harris est toujours un coeur à prendre, mais disons que c’est compliqué.
orientation. Harris est ouvert diront nous, mais il a une nette préférence pour les garçons que les filles. Hamish quant à lui ne s’émerveille que devant les femmes.
fonction/profession. Princes de DunBroch, conseillers de la Reine Mérida Dunbroch, Harris était général des armées et bien sûr avec ses deux autres frères ils forment aussi les stratèges militaires du royaume. Le leader du trio, était Hamish jusqu’à sa mort.
pouvoirs. Transformation en ours.
objets magiques. armes : se bats avec deux haches et tir à l’arc, même si dernièrement il l’a plus troqué contre un fusil.
groupe. Les resistants.
avatar. Eddie Redmayne

Anecdotes
Hamish a toujours été la tête pensante du trio et celui qui était le Maitre Stratège de DunBroch lorsque Mérida est passée Reine. Harris était officiellement général des armées et Hubert s’occupe des relations diplomatiques. Mais c’est bien à eux trois qu’ils préparaient des plans de bataille parfois toute la nuit. Ils ont toujours marché à trois pour leur farces, pourquoi s’arrêter ? – Harris est le plus éfronté et espiègle, Hubert le plus discret et Hamish était le parfait équilibre des deux – Les coups de coeur de Harris sont Kranedur, Kristoff et March Hare. – Harris partage son corps avec l’âme d’Hamish. Il est allé le cherché dans les mondes des morts et maintenant, il cohabite. Ce n’est pas facile. Hamish peut intervenir quand il veut et c’est ce qui est compliqué avec la Reine Blanche. En réalité, c’est même plus subtil que ça, car ils sont toujours présents et conscient, comme des frères siamois presque. Harris ne sait parfois plus qui il est, Hamish ou lui. Il ne se sent plus lui-même, les deux âmes se confondent trop. Il ne faut pas s’étonner à ses crises de doubles personnalité qui le rend plus irritable et instable, voire des petites périodes dépressives. – Il aime faire des mauvaises blague et répond souvent insolemment, et/ou parle trop franchement. – Il peut être très hargneux. – Il adore le miel. Il ne saurait dire si c’était le cas avant ou après avoir été transformer en ours – Il lui est arrivé de se transformer en ours sur un coup de colère ou histoire d’être autre chose qu’Harris ou Hamish, et se balade discrètement en forêt. Pour l’instant peu de monde l’a vu, mais on a entendu parler d’un ours qui roderait dans les forêt de l’île. – Elinor Dunbroch (la mère) est la grande soeur de Valka ce qui fait que Merida et les Garçons sont les cousins directs de Hiccup. Fergus Dunbroch (le père) est le cousin de Agdar Sørensen, le père d'Elsa et Anna qui font de leurs enfants des cousins éloignés. Agdar est marié à Idun Sørensen. Les Dunbroch voient peu cette branche de la famille comme les depressifs et niais de leur lien de sang. Ils sont par contre très proches de la famille dominante de Berk, les Haddock. – C’est à Steamtown qu’il a appris à tirer à l’arme à feu et qu’il s’en est acheté une. – Harris a toujours eu beaucoup de mal avec les filles, non pas qui ne les aiment pas mais il est tellement timide. Il a très peur d’elles. C’était à cause de la fille d’une domestique. Ils avaient 13 et 12 ans, une petite amourette d’enfant qui finit mal. Elle l’avait humilié. Elle ne voulait pas que ça se sache et un jour devant d’autre enfants qui trainaient au château et jouaient ensemble, elle s’était moqué de lui. Elle avait peur qu’on sache pour eux deux. C’était innocent mais pour rire, sauf que Hamish ne l’a pas vu comme ça. – Il possédait un dragon, qu’Hiccup lui a appris à monter et comprendre. Malheureusement, depuis qu’il a été envoyé à Riorim, il a été relâché et il est retourné à Berk.

questionnaire.

Votre avis sur la magie ?
Il n’a rien réellement contre. Il y a une beauté dans la magie et des choses merveilleuses et bonnes peuvent en sortir. Sauf que pas toujours et il est de l’avis qu’entre de mauvaise mains, la magie est un mal. Il ne peut non plus nier que c’est bien pratique, comme les terriers des Lapins par exemple. Il n’y touche pas trop –surtout seul – car il n’y connait rien et a vite fait l’expérience que c’est comme ça qu’il vous arrivait malheur. Bon d’un autre côté il est curieux, alors il se peut qu’il se lance dans de nouvelles expériences avec la Magie, comme entrer dans les mondes des morts et repartir avec l’âme de son frère en lui. Après, il ne dit pas que la vie serait mieux sans. Elle serait simplement différente.

Quelle était votre place avant le conflit avec The Witch ?
Sa place avant le conflits de The Witch ? Aucun, du moins les Dunbroch ne se sont jamais investi dans un clan ou un autre, pas officiellement. Ils n’aspiraient pas au règne de la Sorcière, mais ce n’était pas une raison pour venir aller lui mettre des bâtons dans les roues. Disons qu’ils avaient leur royaume et leur soucis à gérer. Ils défendaient si besoin leur alliés contre cette dernière. Ce n’est que bien plus tard, deux ans après l’Exile et la mort de Elinor Dunbroch, sa mère, qu’il a rejoint tout doucement les Résistants, soutenant Hiccup dans sa quête de réveiller les Rebelles.

Pourquoi ce camp ?
Harris l’a peut-être rejoint pour s’occuper au début, il est vrai. Il s’est senti mis de côté après le mariage d’Hamish et se retrouvant le seul sans épouse dont il doit s’occuper. Il était trop jeune pour rejoindre les Rebelles à l’époque et ne se voyait pas entrer dans un rôle aussi responsable et dangereux que d’être un nouvel ennemi officiel de la Sorcière. Après, avec l’enjouement d’Hiccup, il s’est trouvé la force d’ajouter à ses propres responsabilité à Dunbroch, une cause à défendre. Drago s’est réveillé être lui aussi un ennemi redoutable. Il a la force et le pouvoir d’écraser The Witch et cette dernière doit gérer beaucoup plus d’antagonistes qu’avant l’Exile. C’est le moment où jamais pour tenter de brisé ces deux forces tyranniques et menaçantes qui grandissaient sur Vesta. Ce qui est sûr c’est qu’entre Drago et la Sorcière, ils risquent de ne pas être gâté. Lui, le plan qu’il soutenait, c’était de laisser Drago venir amoindrirent les forces de la Sorcière et ensuites, ils attaqueraient pour les balayer des terres de Vesta.


crackle bones



Derrière l'écran
Pseudo : kiwi
Prénom : /
Âge : 27 ans
Pays : France
Fréquence de connexion : autant que je peux !
Inventé ou scénario : inventé
Commentaires : /
Harris H. Dunbroch
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Mon Histoire : Hamish est mort et habite le corps de son frère Harris. Ce dernier est allé le chercher dans les Mondes des Morts et il s’est retrouvé à partager son corps avec l’âme de son défunt frère dont il n’avait pas accepté la mort. C’était peut-être un peu irresponsable, il ne s’attendait pas à ce genre de situation. La cohabitation devient de plus en plus difficile et lui fait perdre la tête. – Il est à Riorim depuis un peu plus d’un an seulement, envoyé par le Lièvre de Mars après un conflit. Harris a compris rapidement où il était et s’est fondu au décor pour survivre et prend son mal en patience. Il n’est donc pas touché par le sort de l’Exile. – Il est apprenti boulanger sur l’île, ainsi il a un travail et gagne des sous afin de mieux survivre dans cette prison insulaire. Puis ça lui occupe l’esprit. Il aime particulièrement ce travail, loin de ses soucis et ses responsabilité en tant que Prince de Dunbroch. – Il vit chez Clochette sur l’île. Une sorte de colocation sauvage. Il n’est pas toujours là, des fois il est ailleurs quand il ne la supporte plus – Il ne parle pas seul, il parle à son frère. Ou alors c’est que c’est devenu une sale habitude. – Hamish est marié et Harris préfère les hommes. Ouais... Y’a des moments où c’est un peu compliqué.
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Les Garçons

Qui devinrent trois terribles petits ours




« Vous pouvez prendre ce que vous voulez dans la cuisine ! » avait dit Mérida avant de partir avec leur mère sous une forme bien mystérieuse, celle d’un ours. Ils se regardèrent tous et balayèrent la cuisine du château des yeux. Salle qu’ils fréquentaient que trop souvent. Il fallait bien compenser le haggis qu’il refusait de manger à table et que la reine Elinor leur servait presque à tout les repas. C’était facile pour Mérida, elle arrivait toujours en retard au repas et se faisait tellement remonter les bretelles qu’on oubliait de lui faire avaler cette torture.

C’est alors que dans cette caverne remplie de nourriture diverse, du sucré au salé, de l’amer à l’acide, … Il y avait ce gâteau sur la table, si bien présenté, sur une assiette, déjà mangé. Ils le voulaient. Ils se regardèrent encore, avec intimidation et suspicion. Et ils se jetèrent dessus. Ca grognait, se poussait, des petites mains tapaient et claquait des épaules ou des visages. Hubert plongea vers le gâteau, mais Harris le bloqua en lui donnant un coup d’épaule sur le côté, bousculant Hamish en passant qui roula en arrière. Ce dernier se releva brusquement, alors que ses deux autres frères continuaient de se disputer le butin. Ils se tenaient mutuellement avec force et essayait de faire céder l’autre en premier. Hubert était dans le dos de Harris et lui serrait le coup de ses bras, les jambes autour de la tailles. Dès qu’il s’approchait du gâteau, il le tirait par les cheveux pour le faire reculer. Hamish fronça les sourcils et vint les pousser à son tour. Les deux autres frères tombèrent et roulèrent à leur tour sur le sol. Ils se relevèrent et avant même qu’ils ne pensent à se venger sur le plus vieux des trois, celui là les regardait avec autorité. Il ouvrit ses mains, faisant un signe qui coupait l’air pour leur demander de cesser. Hubert se dressa droit comme un soldat devant un général des armées et Harris… Il grimaça et fit mine, la main sur son front. Il tapa son doigt dans sa main en signe de séparer quelques chose et s’approcha du gâteau. Séparé en trois, il les distribua aux deux autres qui trépignaient, impatients d’en manger.

Quelques minutes plus tard, ils se tordirent de douleur et se retrouvaient lesté de leurs vêtements. Les trois petits roux, les Garçons comme on les appelait étaient devenus trois petits ourson noirs.

Harris avait toujours été le plus espiègle, rebelle et caractériel des trois, alors qu’Hubert était le plus doux, le plus timide et patient. Discret. Hamish était exactement le parfait équilibre des deux, ce qui lui donnait un peu plus de raison, de réflexion et aussi de stratège. Il était le plus vieux des trois et naturellement le leader, dominant les deux autres par son esprit plus autoritaire, machiavélique et ambitieux. Il était fait pour ça, et si Mérida ne trouvait point de mari, il aurait du être l’héritier de DunBroch. Les 400 coups, c’était lui qui les dirigeait d’une main de maitre. L’idée de se construire des passages secret à travers les murs du château, c’était de lui aussi. Il était le plus téméraire et n’avait peur de rien. Il pensait à tout et cherchait à avoir toujours un coup d’avance ou de tirer le meilleur profit pour eux. Il était vraiment la tête pensante du trio. Pas que les autres n’étaient pas malins, ils l’étaient. Hamish beaucoup plus. Aucune nourrice de leur résistaient ou voulaient s’occuper d’eux. Leur tuteur perdaient facilement patience, surtout leur maitre d’arme à qui ils ont du faire les plus grosses fourberies vers leur adolescence. Plus tard, quand on connaissait les DunBroch, on redoutait leur plan de bataille.

Le récit de la fille, première-née, de Dunbroch est entré dans la légende d’un royaume qui écrivait doucement son histoire. Elle était l’aînée d’une fratrie qui s’était arrêtée après elle à des triplés, appelés Les Garçons pendant leur enfance ou les Trois « H ».

Dans l’ordre de sortie Hamish, Hubert et Harris. Leurs parents Fergus et Elinor étaient le Roi et la Reine d’un royaume qui a uni quatre clans : les Macintosh, les Mc Gryffin, les Ding Wall qui sont sous la régence des Bothwell. Déjà petite elle filait un mauvais coton et préférait la liberté et l’aventure des hommes que le charisme, l’honneur et la loyauté d’une femme. A ses seize ans, sa mentalité de princesse indépendante créa des conflits au sein de la famille. Il était temps pour elle de se trouver un époux comme l’imposait les moeurs de leur royaume. La reine avait invité les quatre clans à venir présenter leur premier né et gagner la main de sa fille aînée.

Mérida ne s’était pas laissé faire et ne voulait pas se plier à ses obligations réductrices de princesse. Elle ne voulait pas subir et se taire. Un dispute violente éclata entre la mère et sa fille avant que cette dernière ne s’enfuit pour fuir la pression de sa naissance. Tout ce qu’elle voulait c’est qu’on l’écoute et qu’on la laisse être libre.

Déterminée autant que l’était sa mère, elle s’empara d’un sortilège pour tenter de changer son destin. Malheureusement tout ne fut pas simple. La reine transformée en ourse, la route fut longue et pleine d’embûche. Elles évitèrent deux fois la mort face à Mor’du, la bête noire du Roi. Elinor y laissa presque la vie pour sauver sa fille de cet ours enragé. Le temps leur était compté, mais elles sont parvenues à briser le sort et se rapprocher. Mérida mit alors toute sa force et son courage afin de réparer le mal qu’elle avait fait. Elles s’étaient comprises et soutenues lors de cette épreuve. Mérida avait sut montrer à sa mère qu’elle pouvait être cette voix qui guiderait leur royaume et sa mère qu’elle pouvait l’entendre. Après ces mésaventures, elle lâcha du leste avec sa fille. Elle lui laissa la liberté alors de se trouver un mariage d’amour et lui laisser la liberté de le choisir.

Le temps s’est écoulé. Mérida a grandi et ses parents ont progressivement passé la main à leur fille. Ils se sont petit à petit écartés du pouvoir pour lui laisser toujours plus de place. À trente ans, elle était toujours sans mari mais elle avait pris ses repères et le domaine de Dunbroch respectait son autorité et son titre de Reine des clans. Pour ces derniers c’était une toute autre histoire. Il y avait une ouverture pour une place sur le trône. Sans mari son pouvoir pouvait être contesté et c’était la place d’un des fils Bothwell ou elle se mariait avant la mort de son père. Sinon, ils se disputeraient tranquillement le pouvoir. Ils n’attendaient qu’une occasion pour les renverser s’ils suffisaient d’appuyer des coutumes sur la table plutôt qu’un plan de bataille. Au mieux, ils mettaient en avant leur fils pour devenir un éventuel époux avant de glisser un pied sur le trône. Fergus vivant, il restait le roi du royaume et ce jusqu’à sa mort où qu’il passe officiellement la main à un fils ou un gendre. Le soucis n’est pas si grand. Harris, Hubert ou Hamish ce n’était qu’un malheureux détail pour ne pas sacrifier leur règne. Mais Mérida tenait à sa place et Les Garçons avaient grandit dans l’idée qu’il n’y avait qu’elle pour porter la couronne. Ils n’étaient pas friands des trop grandes responsabilités et faire chanter leur soeur, ils le faisaient avant même de savoir parler. Même si elle était la reine, ils obtiendraient ce qu’ils voulaient d’elle. Ils étaient alors un peu les rois mais s’il y avait un soucis, c’est Mérida qui devait en assumer officiellement les conséquences. Toute la famille ne voyait que Mérida à la succession du pouvoir, alors ils avaient été aussi un peu élevés dans cette optique là. Ils s’en vengent bien, car c’est vrai que c’était injuste ! Ils sacrifiaient tout pour elle, parce qu’il fallait<./i>. Leur parents leur avait toujours demandé de tout faire pour la faire passer en premier, quitte à sacrifier leur vie. C’était comme un devoir. Mais d’un autre côté, ils le faisaient parce que c’était leur soeur et la seule. Personne d’autre qu’elle ne les a aimé comme elle les as aimé durant leur enfance. Elle acceptait toujours les chantages.

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Mon Histoire : Hamish est mort et habite le corps de son frère Harris. Ce dernier est allé le chercher dans les Mondes des Morts et il s’est retrouvé à partager son corps avec l’âme de son défunt frère dont il n’avait pas accepté la mort. C’était peut-être un peu irresponsable, il ne s’attendait pas à ce genre de situation. La cohabitation devient de plus en plus difficile et lui fait perdre la tête. – Il est à Riorim depuis un peu plus d’un an seulement, envoyé par le Lièvre de Mars après un conflit. Harris a compris rapidement où il était et s’est fondu au décor pour survivre et prend son mal en patience. Il n’est donc pas touché par le sort de l’Exile. – Il est apprenti boulanger sur l’île, ainsi il a un travail et gagne des sous afin de mieux survivre dans cette prison insulaire. Puis ça lui occupe l’esprit. Il aime particulièrement ce travail, loin de ses soucis et ses responsabilité en tant que Prince de Dunbroch. – Il vit chez Clochette sur l’île. Une sorte de colocation sauvage. Il n’est pas toujours là, des fois il est ailleurs quand il ne la supporte plus – Il ne parle pas seul, il parle à son frère. Ou alors c’est que c’est devenu une sale habitude. – Hamish est marié et Harris préfère les hommes. Ouais... Y’a des moments où c’est un peu compliqué.
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Hamish a ramené une fille !

Il aurait préféré trouver un monstre ou un trésor




Hubert et Harris attendaient tranquillement au bord d’un torrent. Le premier lançait des cailloux pour passer le temps quand soudain un bruit les alerta. Des pas faisait craquer des brindilles de bois. Hubert s’arma de sa masse de guerre et Harris attrapa la première arme qu’il avait sous la main, son arc. Ils savaient tous tirer à l’arc, avec une grande soeur comme Mérida, c’était presque une obligation, puis chacun avait sa spécialité au corps à corps. Hamish c’était épée et bouclier, puis Harris se battait avec deux haches. En parlant du leader des triplés, ce n’était que lui qui débarquait de derrière une rangé d’arbre et de fourré. Les deux autres frères baissèrent leur garde et soufflèrent, soulagés. Enfin pas longtemps à en voir l’expression du plus vieux et surtout son état. Il n’avait que son arc et un seul et unique vêtement sur le dos – qui cachait l’essentiel encore heureux. Soudain une ombre glissa derrière les feuillages alors que le roux se décalait sur le côté. Au bout de sa main, une autre main bien agrippée et à la suite une jeune-fille. Les deux autres garçons les jaugèrent, choqués. « Une fille ? » finir par dire Harris avec condescendance.. Il n’y avait que lui pour faire ce genre de réflexion. « Je cherchais les ruines. Pour le trésor. Et… » commença à argumenter Hamish, ne sachant vraiment comment finir. Il était encore trop secoué et la fille ne voulait pas lui lâcher la main. Il aurait préféré être n’importe où que là. Il finit par se débarrasser difficilement de la poigne de la belle en détresse. Il retirait un à un ses doigts et reprit la parole : « J’avançais tranquillement et discrètement dans le couvert, et bam, elle me rentre dedans. Je me suis transformé en ours, puis me suis retrouvé à poil et elle m’a plus lâché. » dit-il un peu hagard avant de faire une pause se rendant compte de son discours. Il finit par tordre sa bouche en une grimace penaud, apeuré et déconfit. Ses yeux leur imploraient de l’aide. Un long silence suivi où Hamish regardait ses deux frères. Hubert et Hamish le regardaient aussi avec la fille de nouveau pendue à son bras et la filles les regardait à tour de rôle tout les trois. C’était fascinant, trois fois les mêmes. La seul différence était l’expression de leur regard. Celui de Hubert était plutôt avenant, Harris pétillant et Hamish avait l’air simplement perdu et inquiet. Harris finit par exploser de rire suivit par Hubert qui se retenait.
« C’est pas drôle ! aboya l’aîné.
_Bon on en fait quoi ? demanda Hubert.
_On l’abandonne dans la forêt et on court très vite pour pas qu’elle nous retrouve. » lança Harris avec humour. Ou pas. Il reçut une tape derrière la tête d’Hubert et Hamish lui jeta un cailloux. Ca avait calmé le plus jeune un moment. Hamish se tira les cheveux. « J’en sais rien moi de ce qu’on en fait. Mais elle va me lâcher oui ! » pesta Hamish sous le regard désolé d’Hubert pour la jeune-fille. Ses deux autres frères n’avaient aucun tact avec les demoiselles. Elle ne le lâchait pas. Harris éclata une nouvelle fois de rire. Hamish fixa l’arc dans les mains de ce dernier. Il prit une flèche et banda son arc. Harris continuait de rire. L’ainé lui tira une flèche dans les pieds. Le cadet fit un bond et s’arrêta de rire, essuyant des larmes aux coins de ses yeux. Cela avait aussi réussi à calmer un peu Hamish qui réussi à retrouver ses esprits. « On va la ramener au château. Elle était seule et enfermée je crois…
_Si on l’a enfermé, c’est qu’il y a une raison, réfuta Harris. Et on ne sait pas qui l’a enfermé.
_[color=maroonJ’sais… Mais j’arrive pas à m’en débarasser. Et elle a fait les gros yeux humides…[/color]
_Ah... elle est amoureuse, alors ça change tout ! » répliqua Harris, moqueur. Et c’était reparti, il se mit à ricaner en se tenant le ventre. Hamish lui jetais un regard noir. Hubert l’ignora et dit à Hamish : « On va l’amené à DunBroch. Père et Mère sauront quoi faire. Au pire on la ramènera où tu l’as trouvé... » trancha Hubert, face au manque d’objectivité d’Harris et la panique de la tête pensante du trio.

Comme c’était Hamish qui avait trouvé cette jeune-fille, il était bien normal qu’il partage sa monture avec elle. Il ne pouvais pas compter sur ses frères. Ce n’était pas d’Hubert qu’il aurait du soutient, subissant déjà une épouse, ni Harris qui – ce n’était pas vraiment un secret – ne portait pas vraiment les filles dans son coeur. Forcément, c’était Hamish qui ouvrait la marche et il entendait presque les sourires moqueurs du reste de la fratrie. Lui, les filles c’est pas qu’il les aimait moins que les garçons comme son frère, mais qu’il n’en parlait simplement pas. Ca le gênait énormément. Il pouvait faire beaucoup de chose, mais les filles le mettait très souvent mal à l’aise. Il préférait les dédaigner ou les ignorer, ce qui faisait de lui un jeune prince encore plus coinvoité. Il paraissait froid et muni d’un coeur de pierre. Pauvres demoiselles, si elles savaient. Non, il était juste timide et gauche. En gros, il ne savait pas comment faire. Ca remonte à un certain temps, où jeune garçon, il avait une amoureuse et qu’elle l’avait humilié sans vraiment le vouloir et comme le ferait une enfant de son âge et s’était moqué de lui. Depuis, il n’avait confiance qu’en sa mère et sa soeur. Grandir avec Mérida ne l’avait peut-être pas aidé non plus. Alors les filles vraiment délicates et ingénue, le mettait encore plus mal à l’aise, car des comme ça, il n’en avait jamais vraiment côtoyer. Cette fille qu’il venait de trouver au milieu de la forêt, en faisait partie. Mais c’était pire. Alors qu’il essayait de ne pas trop pensé qu’il était à cheval, collé contre une demoiselle fort ravissante pour ne pas paniquer et faire n’importe quoi, elle venait le triturer de partout comme si elle n’avait jamais vu un homme ou un roux de sa vie. Elle lui passait la main dans les cheveux, frottait des mèches entre ses doigts pour juger de la texture. Puis, elle lui touchait et pinçait le visage, et enfin, alors qu’il évitait au mieux de la regarder, elle descendait ses mains sur son torse. « Un peu maigre pour un chevalier… Je vais finir par trouver ce que vous êtes ! Je suis très forte à ce jeu » lui répondit-elle parce que l’autre qu’ils s’étaient rencontrés (de plein fouet), elle lui avait demandé qui il était. Il n’avait rien dit. En fait, il ne lui avait pas parlé une seule fois. Or, là c’était trop. Il lâcha les rênes et se débarrassa rapidement de ses petites mains trop curieuses d’un geste froid. Il la fixa longuement, sur le point d’éclater. « Mais tu t’arrêtes ! » Sans réfléchir, il posa simplement sa main sur ses fesses et l’éjecta d’un coup de son cheval. La jeune-fille s’étala dans la gadoue. Les deux autres frères s’étaient arrêté pour rester à distance, comme s’ils avaient peur d’effrayer un animal sauvage et fragile. Harris se mordait la lèvre pour ne pas rire et Hubert souriait. Aucun soutient, ni même pour lui faire la discussion et dévié son attention. Elle était complètement collée à Hamish, c’était si amusant. Puis il fallait bien que leur frère guérisse de ses angoisses. Hamish avait finit par tendre la main vers la brune et l’aida à remonter sur le cheval. « Oh merci ! Vous êtes adorable. » le remerciait-elle pour cette main tendue. Il se demandait si elle n’avait pas compris qu’il l’avait poussé, si elle s’en moquait, ou si elle était simplement idiote. Hamish ferma les yeux un long instant, espérant qu’en rouvrant les yeux elle ne serait plus là. C’était raté. Il se frappa violemment le visage de sa main, désespéré. Harris n’en pouvait plus et explosa de rire. Hubert se joignit à lui et s’arrêta brusquement en voyant le regard assassin de l’aîné. Il donna un coup de poing à Harris pour qu’il cesse aussi, mais c’était impossible. Il était déjà dans un fou-rire, se tenant le ventre, plié en deux sur son cheval. Et encore, s’ils savaient… Ils n’avaient pas eu tout les détails de leur rencontre.

Il était parti alors en éclaireur pour aller repérer les lieux. Il y aurait peut-être un petit trésor à piller dans des ruines non loin de ????? Et pourquoi pas un petit monstre à la clé pour avoir tout le renom au diner et peut-être même pour la semaine face aux exploits de Mérida ou aux lointain de leur père. C’est alors que sortie de nulle part – plus précisément d’un buisson qu’on traversait à vive allure – une chose le percuta violemment. Ils roulèrent tout les deux dans l’herbe légèrement en pente. Dans la surprise, Hamish s’était transformé en ours. Deux roulades plus tard, la fille qui l’avait percuté se releva légèrement, bien secouée. Leur tête s’étaient percuté avec force. Elle se la frottait et regardait sous elle. Elle vit un ours. Elle poussa d’abord un cri, puis l’observa de plus près. Ses yeux s’illuminèrent alors que la bête se frottait le museau de ses grosses pattes. Il était si adorable alors elle le prit dans ses bras, entourant son cou avec affection. « Qu’il est trop mignon ce petit ours » qui avait quand même presque atteint sa taille adulte, précisons le. Ses genoux touchaient à peine le sol. Ce fut au tour d’Hamish de réaliser ce qu’il se passait. Il roula et se débarrassa alors de la jeune-fille. Il la jaugeait, penchant légèrement la tête sur le côté, ses yeux noirs plein d’effroi. « Oh mais n’aie pas peur. Je ne vais pas te faire de mal. Tu as mal à ton museau ? Tu veux que je regarde ? » lui dit-elle de sa petite voix douce et enfantine. Hamish secouait la tête de peur et se mit à crapahuter mais elle le rattrapa vite et vint de nouveau l’étreindre, frottant son visage contre le poil épais et doux de sa nuque. Il n’osait plus bouger. Il ne savait plus où se mettre. Il était complètement perturbé alors pour bien enfoncer le clou, il redevint lentement humain. Oui, c’était un tableau bien honteux d’un homme nu à quatre patte enlacé par une fille en plein milieu d’un forêt. Il n’osait toujours pas bouger. Qu’est-ce qu’il devait faire ? Elle n’ont plus ne bougeait pas. Avait-elle remarqué que quelque chose avait changé ? Sûrement pas, sinon les autres hypothèses risquait de lui provoquer un infarctus. Subitement, il se releva et la poussa avant de partir en courant. Son premier objectif, c’était de récupérer le maximum de vêtement exploitable après sa transformation. Soit une chemise longue et en lambeaux, mais ça suffirait avant de retrouver ses frères. « Mais attends ! » avait dit la jeune-fille se mettant à sa poursuite. Il l’ignora, enfilant sa chemise tout en continuant d’avancer d’un pas plus que rapide. Sauf que la tête dans le vêtement déchiré, il se coinça les bras dans un trous qui n’était pas le bond, alors le col n’était pas descendu et un arbre vint se mettre pile sur son chemin. La jeune-fille le rattrapa de peu alors qu’il allait tomber à la renverse, presque assommé. Elle l’aida à enfiler son vêtement. « Attends s’il te plait… » lui demanda t-elle d’une petite voix brisée, presque implorante. Elle lui attrapa le bras, comme s’il était son dernier espoir. Hamish prit le temps de la jauger. Sa robe était digne d’une princesse, mais sale et déchiré, il y avait même des traces de sang au niveau de son genoux gauche. Son visage était si pâle, et faisait ressortir tous les indices de larmes et de fatigue par ce dégradé de violet et de rouge autour des yeux. Elle avait les marques d’enclave lourdes et froides sur les poignets. Il ne lui parla pas. Il ne pouvait pas. Il était encore bloqué sur le fait qu’il s’était retrouvé nu contre une fille. Pire encore, qu’une fille est accroché à son bras et qu’il ne porte qu’un semblant de chemise. Il la traina tout simplement jusqu’à l’endroit où il avait laissé Hubert et Harris, où il pu trouver un pantalon de rechange. Ils prévoyaient, car de se retrouver accidentellement nu quand on a tendance à se transformer en ours sans prévenir c’était bien plus fréquent qu’ils ne l’espéraient.

Au château, ils avaient gagné le droit d’être au centre des attentions. Enfin surtout la pauvre demoiselle à qui on offrit le logis, un bon repas et des vêtements propres. Demoiselle qui n’était autre que la Reine Blanche de Wonderland. Cela avait posé au début, une ambiance de tension. Ils étaient si à part les habitants de ce pays coupé du leur. Un royaume puissant et fou avec qui on ne voulait pas de problème. Mais face à la candeur de la Reine Blanche et sa sincérité, les doutes s’étaient rapidement évaporé. Ils l’avaient hébergé au château de Dunbroch un bon moment, le temps qu’elle puisse se requinquer et surtout revenir plus forte dans un royaume qui l’avait chassé. Hamish faisait tout pour l’éviter, enfin c’était sans compter sur le manque de soutient de ses frères qui s’embarquaient toujours pour qu’il se retrouve tout seul avec elle. Quant à Adélaïde, une des reines de Wonderland, ne se lassait pas de passer du temps avec lui. Si Harris et Hubert de le jetais pas dans ses bras, elle le cherchait de toutes les façons.  


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Mon Histoire : Hamish est mort et habite le corps de son frère Harris. Ce dernier est allé le chercher dans les Mondes des Morts et il s’est retrouvé à partager son corps avec l’âme de son défunt frère dont il n’avait pas accepté la mort. C’était peut-être un peu irresponsable, il ne s’attendait pas à ce genre de situation. La cohabitation devient de plus en plus difficile et lui fait perdre la tête. – Il est à Riorim depuis un peu plus d’un an seulement, envoyé par le Lièvre de Mars après un conflit. Harris a compris rapidement où il était et s’est fondu au décor pour survivre et prend son mal en patience. Il n’est donc pas touché par le sort de l’Exile. – Il est apprenti boulanger sur l’île, ainsi il a un travail et gagne des sous afin de mieux survivre dans cette prison insulaire. Puis ça lui occupe l’esprit. Il aime particulièrement ce travail, loin de ses soucis et ses responsabilité en tant que Prince de Dunbroch. – Il vit chez Clochette sur l’île. Une sorte de colocation sauvage. Il n’est pas toujours là, des fois il est ailleurs quand il ne la supporte plus – Il ne parle pas seul, il parle à son frère. Ou alors c’est que c’est devenu une sale habitude. – Hamish est marié et Harris préfère les hommes. Ouais... Y’a des moments où c’est un peu compliqué.
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Sam 28 Jan - 12:19

Se marier la peur au ventre

Après les tristes chants d’un enterrement.




« Non je ne veux pas l’épouser ! Non c’est non !
_Hamish tu arrête de faire ta tête de mule et tu obéis ! » gueula Fergus plus fort sur son fils. Ca faisait un petit moment que le ton montait dans la salle du repas. Ca commençait à ressembler à qui crierait le plus fort entre Hamish et leur père. Harris était assis à côté, impassible ou presque. La hache calée contre la table à l’aide de sa jambe, il affûtait tranquillement la lame avec une pierre. Il roulait parfois des yeux. Hubert était parti retrouver sa dame et leur mère était alitée depuis déjà quelques jours. Fergus insistait pour que Hamish épouse Adélaïde. Il eut l’occasion de discuter un peu avec elle et il comprit bien vite qu’elle aimait beaucoup son fils. Une chose qu’il ne pensait pas possible dans cette vie, un peu comme Harris. Et Mérida n’en parlons pas. Il savait qu’Hubert ne serait pas difficile et a une personnalité plus douce. Le reste de ses enfants, il s’était cru puni par les dieux pour avoir des enfants aussi à marier. Sans parler que les affaires matrimoniale, ce n’était vraiment pas son dada. C’était celui de sa femme Elinor, mais vu sa santé actuelle, il devait porter les deux couronnes auprès de leurs enfants. Ce n’était pas une tâche facile. Elinor était aussi pour ce mariage. Fergus ne faisait que passer le message, sauf que comme on l’a dit, il ne maitrisait pas ce genre de discours alors l’échange était un peu stérile.

« Je ne veux pas ! insista Hamish
_Mais par ma jambe, quand vas-tu grandir un peu hein !? Tu as des responsabilités Hamish en tant qu’aîné. C’est une fille, pas un dragon ! Soit un homme Hamish ! répliqua son père, commençant à devenir rouge de colère.
_Mais comment ça l’aîné ? On est né en même temps, moi j’étais juste plus rapide. Arrêtez avec cet argument. Et Harris pourquoi que tu le force pas à se marier aussi ! T’as qu’à la lui donner à lui, je prendrais la prochaine au pire. On se ressemble, elle n’y verra que du feu ! » argumenta à nouveau Hamish, de mauvaise foi. Il ne voulait pas. Harris s’était arrêté de frotter la pierre et levait haut les sourcils, ne s’attendant pas à entrer dans la discussion. Il n’en avait pas trop envie. Harris était un peu le sujet-qui-fâche dans la famille. Il serra la mâchoire, n’osant bouger et espérant qu’ainsi il disparaitrait aux yeux des autres. Le père avait marqué une pause, un peu mal à l’aise : « Harris c’est différent ! C’est un autre soucis ». Harris tourna la tête vers son frère et son père, l’air outré. On savait dans la famille son attirance pour les hommes, et peut-être quelques personnes aux châteaux, voire chez les cousins de Berk. Mais on n’en parlait pas. C’était plus simple de faire comme si personne ne savait rien. « Mais ne t’inquiète pas qu’il y passera aussi !
_Okay, mais alors moi je veux faire comme Mérida et j’ai le droit de choisir.
_Et pourquoi que tu choisirais et pas moi ?!
_Parce que toi t’es juste un pisseur devant les filles. Moi elles me donnent envie de gerber !
_Je peux gerber quand je suis trop stressée aussi » et ils continuèrent de se disputer comme des enfants. Fergus les observa un moment, dépassé. « Les Garçons… Les Garçons ! … » mais ils ne cessaient de se chamailler et ils commençaient même à se bousculer. Hamish s’était levé et défiait son frère. Harris se leva à son tour et enfonça la hache dans le bois de la table d’un geste déterminé. Fergus les préférait quand ils étaient petits et qu’ils se claquaient ou se mordaient. Maintenant qu’ils savaient manier des armes et qu’ils étaient grands, c’était un peu plus dangereux.

Il avait beau les interpeller en beuglant, cela ne les arrêtait pas. Fergus sentit sa patience bouillir et ça le submergea. Il attrapa la table et la retourna d’un seul geste puissant. « Ca suffit ! » hurla t-il. Les deux roux se figèrent de peur. Le roi désigna Harris du doigt : « Tu ne choisira pas ! » aboya t-il et se tournait vers Hamish : « Tu épousera Adelaide ! Maintenant, vous ranger la salle et vous allez vous coucher. Exécution ! » continua Fergus fou de rage, faisant bondir les deux frères qui vinrent se prendre dans les bras. Il quitta la salle et les enfants rangèrent la salle. Harris conseilla à son frère d’attendre un peu et d’en reparler calmement avec leur père. Hamish lui confia alors qu’il comptait bien épouser une femme un jour, mais qu’il espérait que ça se passerai autrement. Comme leur soeur, il rêvait d’amour. Il était mal à l’aise avec les filles, mais il sentait qu’un jour il trouverait cette fille qui lui ferait tout oublier, qui arriverait à briser sa carapace.

Briser sa carapace, Adelaide avait déjà commencé à le faire sans qu’il ne s’en aperçoive. Elle grattait tout doucement la coquille qui cachait le pauvre poussin vulnérable. Les jours qui suivirent cette dispute entre le père et son fils, l’ancienne reine était de plus en plus malade. Tout le monde se disait que ce n’était plus qu’une question de temps, Elinor la première. Hubert le vivait très mal, Harris ne faisait que des bêtises et agissait comme un irresponsable alors Hamish du garder la tête froide pour eux, comme Mérida, la Reine actuelle et qui devait les porter tous les trois aussi. Ils se sont énormément soutenus, mais ce qui lui a fait étrangement le plus grand bien, ce fut Adelaide. Il n’avait toujours pas accepter l’idée de son père de les unir tout les deux, mais il s’était habitué à elle. Il passait un peu plus de temps avec la jeune-fille et elle avait même réussi à lui arracher deux sourires et un rire depuis qu’elle vivait dans leur château gracieusement. Puis surtout cette fille qu’il trouvait trop jolie qu’elle l’impressionnait et tellement à part ce qui embellissait son charme s’était occupée de sa mère. Elle comprenait ce que c’était que d’être malade, de devoir trouver la force de prendre sa cure, de souffrir parfois en silence et en serrant les dents. Ce n’était qu’un mauvais moment à passer. Adelaide l’avait soutenu et s’était occupé d’elle gratuitement, naturellement. Elle compatissait tout simplement pour cette femme qui avait l’air d’une grande dame tout à fait respectable.

Elle avait de moins en moins de force elle le savait. Elle avait un de ces rares moments de lucidité éprise par la fièvre. Elle avait fait demander sa fille en première, puis les Garçons. Elle leur laissa un mot à chacun dans le creux de l’oreille alors qu’il vinrent lui donner un baiser à tour de rôle. Elle avait demandé à Hamish alors qu’il se penchait et vint délicatement embrasser son front. « J’aimerai que tu l’épouses. C’est une fille bien. Aucune n’autre ne te sera plus dévouée et aimante… Elle te soutiendra, te soignera et te consolera. Mais pour ça, il te faudra aussi trouver la force de veiller sur une autre personne aussi précieuse que ta soeurs et tes frères. S’il te plait. Ecoute les conseils de ta mère pour la dernière fois et choisi la comme épouse. ». Deux jours plus tard, elle mourrait. Le lendemain, on préparait les noces du Prince Hamish de Dunbroch et de la Reine Blanche de Wonderland. Hamish était plus qu’apeuré, mais pour sa mère il le faisait. Elle était très souvent de bon conseil. Leur première nuit, il s’était allongé à l’autre bout du lit, sans même oser la regarder. Et dire que d’habitude il était si sûr de lui. Là, il suffisait qu’elle soit trop craquante et une Reine pour lui retirer toute once de bravoure. Il n’avait pas non plus la tête à ça avec la perte de sa mère.

Adelaide était resté encore une semaine avant de devoir retourner dans son royaume. Elle devait penser à son peuple et ses terres. Bien sûr que Hamish se devait de l’accompagner. Harris et Hubert étaient aussi venus pour l’escorte. Ils étaient bien plus efficaces tous les trois. Mérida restait au château avec leur père pour veiller sur DunBroch. Arrivé à Wonderland, la fratrie était resté quelques jours avant de repartir. C’était un très long voyage. Un total dépaysement. Ils avaient vadrouillé pas mal, surtout avec Harris. Harris qui était exécrable avec Hamish depuis le mariage. Pour lui, ça ferait comme Hubert, quand il s’est marié ils étaient beaucoup moins toujours-tout-les-trois. Maintenant, il serait tout seul. Hamish avait craqué à peine deux jours passé à Wonderland. C’était un total dépaysement et alimentait son stress. Il se sentait oppressé, incompris, perdu et abandonné. La mort de sa mère et ce monde de fou, mais qu’avait-il fait ? Avait-il épousé une folle aussi ? Il ne comprenait rien aux gens ici...

Adelaide l’avait retrouvé recroquevillé dans un coin du balcon de leur chambre, légèrement tremblant et les yeux rouges de larmes. Il n’avait pas pleuré, il se battait encore pour ne pas craquer. La Reine l’avait simplement pris dans ses bras et lui caressait le dos. « Je ne te jugerais pas… » et Hamish s’effondra. « N’aie pas peur, je suis là… » lui murmurait-elle avant de lui déposer un baiser timide sur la joue. Hamish comprit alors les mots de sa mère. Adelaide avait brisé la carapace et le gardait contre elle au chaud. Il n’avait plus peur, parce qu’elle était et il lui donna enfin son premier baiser d’époux. Après, Hubert et Harris repartirent, laissant leur frère qui avait décidé de rester un peu plus longtemps avec Adelaide. Ce n’était pas encore ça entre eux, mais il n’avait qu’une envie, apprendre à l’aimer. Et durant deux ans, il y eut des incompris, des peurs, des absences très longues, des disputes mêmes, mais surtout du bonheur, de l’amour et du rire. Rien n’était plus beaux pour Hamish que le rire de la Reine Blanche. Elle l’agaçait et il était parfois très dur avec elle voire mauvais et méchant, mais elle était si attachante qu’il revenait toujours pour s’excuser. Il était souvent exaspérée par la brune, or ce qui était sûr c’est qu’il l’aimait.

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Sam 28 Jan - 23:45

Trois sinon rien !

Après une vie de résistant, une vie à deux.




Deux ans plus tard, après la mort de Elinor et l’Exile, un nouveau drame frappa de nouveau la famille Dunbroch. Une nouvelle perte. Les triplés firent partis des Résistants. Rien d'étonnant venant d'eux. Cette fois c'est Harris qui fut le plus investi et le premier à avoir pris contact avec d'autre rebelles à l'époque . Il en avait parlé à ses frères et les trois s'embarquèrent dans une politique tendue et bouillonnante en secret. Enfin, ils observaient surtout de loin. Harris, libre comme l'air avait plus de temps et moins de responsabilité pour voyager. Hubert et Hamish mariés, il se retrouvait souvent seul comme il l'avait prédit alors il s'est occupé. Il se fit de nombreux contacts parmi les brumeux et avait fait déjà trois allée retour là bas grâce à leur impressionnantes machines volantes. Puis il y eut l'Exile... Ils ne furent pas pris car Hamish était au Pays des Merveilles, auprès de la Reine Blanche fortement malade. Il ne voulait pas que ses deux frères ne s'embarquent il ne savait où sans lui pour veiller sur eux. Puis, ils n’avaient encore rien fait de vraiment officiel et à l’encontre de la Sorcière. C’était limite si on savait que les triplés de Dunbroch était dans la partie. On les avait peu vu. L’Exile ne les refroidit pas et il fallait tout autant s'attendre à ce qu'ils rejoignent la poignée de Rebelles restants qui tentaient de se relever.

C'est à Steamtown nord que le drame se passa. Ils s'y étaient rendus tous les trois pour une réunion secrète afin de préparer une petite attaque. Une nouvelle parmi tant d'autre dans la révolte. Les deux plus grands n'étaient pas sur de pouvoir ou vouloir y participer. C'est qu'il avait une femme et une famille. Famille que Harris avait tendance à oublier et les deux autres triplés étaient aussi là pour lui tenir la bride avant qu'il ne se lance dans n'importe quelle mission suicide. Ils donneraient leur participation autant qu'ils le pourraient mais en restant raisonnables. La raison n'a bien sûr pas le même seuil que les autres pour les triplés et le reste du monde mais Harris en avait encore moins.

Dans un petit salon d'une auberge à la lisière de la ville, ils avaient été vendus. La réunion dut s'arrêter plus vite que prévu. Des hommes de la Sorcière venaient d'entrer en trombe dans l'étroite cave où se tenaient une bonne quinzaine d'homme. Fusil en main et mousquet les premiers tirs résonnaient dans la pièce où il n'y avait pour issue qu'une petite lucarne, l'entrée prise d' assaut par les Fidèles et une petite trappe où tous les rebelles se précipitaient non sans se défendre avec hargne. L'odeur du sang et de la mort embauma rapidement la pièce. Ils n'étaient plus qu'une poignée... Harris était à l’arrière, tirant sur l’ennemi pour défendre les résistants et par fierté. Il en avait marre de se plier et de fuir. Ils n’étaient pas comme ça chez les Dunbroch. Sauf que là, c’était suicidaire, les résistants étaient encore trop fragile et trop peu pour user leur force inutilement. Il valait mieux fuir pour mieux revenir. Hamish fini par l'attraper par le col et le jeta en avant vers la trappe. Hubert le réceptionna, prêt à lui céder son tour pour fuir quand soudain… La main d'Hamish sur son vêtement ne le lâchait pas. Harris était comme figé. Tétanisé par la douleur. Une lame transperçais le leader de la fratrie de part en part et lentement son regard se voila. Harris resta un moment interdit entre la peur, la colère, la tristesse et la culpabilité. Il hurla de rage et pleurait à chaude larme en tenant le corps de son frère contre lui. Hubert ne sut non plus quoi faire et continuait de tirer Harris qui n'était pas décidé à partir tenant le corps de son frère contre lui. Il jeta un regard sur l'affrontement sanglant dans la cave. Les Rebelles se battaient avec hargne et arrivait à se débarrasser de quelques fidèles qui eux étaient déterminés à les décimer tant qu'ils avaient l'avantage. Hubert même sans voir son regard compris. Il le tenait par la manche. « Non Harris ! On s'en va ! »

Le corps d'Hamish glissa lentement sur le sol et Harris se relevait. Il se dressait de toute sa hauteur même plus encore. Ses vêtements se mirent à craquer, sa silhouette se déformait à la lueur des lampe à huile. Il se transformait en ours. Bientôt sa tête toucha le plafond de la cave et de ses grosses pattes, il balaya quelques fidèles à sa portée. Il vociféra un cri qui fit trembler les murs, crachant sur le casque des plus proches. La bête se jeta alors sur un des hommes qui lui avait tiré une flèche dans l’épaule. Il l’écrasa de tout son poids pour le faire tomber, le chopa de sa gueule puissante puis ce fut un carnage… L’ennemi recula un peu surpris et les Résistant profitèrent de cette diversion pour redoubler d’effort. Ils ne les firent pas partir, mais gagnèrent du temps avant que les renforts n’arrivent. Les derniers vivants et blessés purent s’échapper par la trappe. Harris resta en ours et portait Hubert sur son dos et le corps froid de leur aîné. D’un pas lourd mais puissant, il sema rapidement la milice de la Sorcière. Rentré à Dunbroch, ce fut d’abord des cris, ceux désespérés de Mérida, puis des larmes avaient couler silencieusement sur les joues marqués de Fergus. Après, on les disputa pour leur manque de responsabilité, leur inconscience et ce besoin de se mettre en danger inutilement. Ensuite se suivit les consolation, le soutient moral et les excuses pour des paroles qui aurait pu aller plus loin que les pensées. Harris eu droit à un « toi et tes conneries… » qui ne fit que briser encore plus son coeur saignant de culpabilité. Il se l’était dit que c’était de sa faute, mais de la bouche d’un autre c’était encore plus douloureux.  Il avait ensuite envoyé une missive au Lièvre de Mars, lui demandant de venir les chercher, c’était important.  

Il était venu deux jours plus tard. Harris expliqua la situation au Lièvre de Mars et avec Hubert, ils se rendirent tous au Pays des Merveilles, devant la Reine Blanche. Cette dernière les accueillit avec un grand sourire avant de remarquer qu’ils n’étaient que deux. Qu’il n’y avait pas Hamish… Un regard sur Harris qui fixait le sol et le frottait du pied. Il cachait ses larmes, et ensuite elle vit les yeux d’Hubert. Il n’y eut pas de mot, mais ce silence et ces regards en dirent long. Elle demandait timidement où il était, la voix tremblante. Hubert fini par lui annoncer la mort d’Hamish et la Reine s’effondra. Comme Mérida, elle s’était jeté sur eux, Harris le premier qu’elle connaissait un peu plus, puis les frappait de coup de poings désespérés contre la poitrine : « Vous deviez le protéger ! » répétait-elle seulement la maxime des triplés « se protéger les uns les autres ». Puis après, quelques secondes plus tard, il ne restait que de la tristesse. Harris la serra contre lui et pleurait avec elle. Hubert vint les entourer tout les deux. Ils étaient restés quelques jours auprès de la Reine qui tomba malade juste après. S’isolant un peu, Harris eut le temps de ruminer, souffrir de sa culpabilité et réfléchir. Il s’en voulait énormément. Il se disait que s’il n’en avait pas parlé à son frère, ils n’auraient pas fini par s’embarquer chez les Résistants. Et comment il allait faire sans Hamish. Comment ils allaient faire Hubert et lui ? Les Garçons n’existaient plus sans les trois. Ca devait bien arriver un jour, il est vrai mais c’était trop tôt. Harris ne pouvait l’accepter. Il perdait pied. Puis il avait entendu parlé des Mondes des Morts. Et si tous simplement, il allait le chercher. Mais s’il n’en revenait pas vivant ? Peu importe, ça ne valait pas la peine de vivre avec le poids de la mort d’Hamish sur la conscience. Psychologiquement, il avait toujours été le plus fragile des trois. Il en avait parlé à Hubert qui lui dit simplement qu’il était fou mais ça ne l’arrêta pas. Les conseils ou les ordres d’Hubert ne le ramena pas à la raison. Il n’y avait que Hamish qui arrivait à se faire vraiment entendre d’Harris. Et ce dernier parti pour trouver les Mondes des Morts.

Harris fini alors dans le Royaume de Beaumont. Il devait bien y avoir un fou inconscient comme lui qui accepterait de l’y amener contre un peu d’or. Et il en trouva un. On l’abandonne à Celeste Light et il trouverait un moyen par lui-même de trouver une petite frégate ou une barque, quelqu’un d’autre pour l’y amener.

Il trouva son homme. Un vieux loup-de-mer qui connaissait bien la région et surtout le Bloody Midnight. Il l'escorta sur une petite île entre l'Olympie et Maelström, un vulgaire morceau de cailloux étroit où il n'y avait rien et lui donna les conseils. Harris s'est engagé dans l'eau en chaloupe avec un compas et une boussole. Harris attendit le bon moment pour partir après les dernier conseil du capitaine qui lui appris les bases de la navigation lors de ce temps partagé en mer. Il devait prendre le Maelström dans le bon angle, à la bonne heure. Presque douze heures plus tard il revint. Il était trempé, tremblant et ses yeux étaient encore rouges de larmes ou était-ce le sel de la mer. Son regard était le berceau d'un bon nombre d'émotion allant de la peur au soulagement et passant par la joie. Il était bien difficile de le définir. Il posa un pied sur terre, le vieux marin était venu à sa rencontre et le rattrapa de justesse alors qu'il s'écroula de fatigue à peine le deuxième pied en dehors de l'embarcation. Porté à la cabine du capitaine et alité il ne se réveilla qu'après une longue journée. L'ancien pirate était à son chevet. Harris ouvrit lentement les yeux en s'étirant comme un chat. Il sourit en voyant le minois de la blonde. « J'ai fais un horrible cauchemar… »  et une voix parla en lui, encore silencieuse aux oreilles des vivants. Ce n'était qu’entre Harris et ses pensées. Une discussion entre frères : « ce n'était pas un cauchemar… ». Harris se figea en fixant la marin, complètement perdu. Il enfonça son visage dans ses mains « Oh bordel... mais...
Je te l'avais dis... mais t'as voulu en faire qu'à ta tête !!! » éclata enfin Hamish au grand jour, enfermé dans le corps de Harris. Grace l'observa en silence, curieuse et aussi inquiète. Elle imaginait bien que revenir de ce genre de monde pouvait laisser quelques séquelles. Elle lui demandait s’il allait bien et vérifiait qu'il n’avait pas de fièvre. L’homme bourru lui posa enfin la question : «  … et ton frère ? Tu ne l'a pas trouvé ? Tu l’as vu au moins ? » Harris hocha la tête et la bouche tordue en une grimace d'enfant effrayé. Il se frotta le visage et pointait son propre coeur : « Il est là… ». Une longue histoire difficile à digérer, mais le pirate le croyait. Cela faisait un moment qu’il trainait vers le maëlstrom et en avait vu des choses étrange. L’homme fut touché par ce jeune prince et il le soutint chaque jour et l’aida à gérer sa cohabitation avec son frère durant le voyage de retour.

La première chose qu’il fit lorsqu’il mit les pieds sur les terres de la Forêt Enchantée, c’était de se rendre à Wonderland. C’était Hamish qui le voulait. Le terrier s’ouvrit sur le monde si mystérieux et fermer du Pays des Merveilles. Ses pas le portèrent jusqu’au palais de la Reine Blanche. Il n’avait encore rien dit à personne. Il poussa enfin la porte de la chambre d’Adelaide. Elle l’avait rarement quitté depuis la mort d’Hamish, il y a trois longs mois. La reine était assise près d’une fenêtre, pensive à regarder le paysage du royaume qui s’étendait jusqu’à la mer. Surprise par l’entrée en trombe du jeune Dunbroch, elle sursauta et le jaugea un moment silencieuse. « Qu’est-ce que tu veux Harris ? » avait-elle mollement murmuré en reprenant sa contemplation. Harris s’approcha doucement et vint déposer une main sur son épaule. Il s’agenouilla devant elle et attrapa délicatement sa main qu’il baisa avec tendresse. Lorsqu’il leva son regard vers Adèlaïde, cela prit un moment mais elle le vit dans ses yeux. Hamish était de retour. « Harris ? » demanda t-elle, la voix encore coincée au fond de sa gorge. Ce dernier hocha la tête. « Mais pas que… » ajouta t-il avant de venir lui déposer un baiser plein d’affection. La reine passa ses bras autour de son cou, ne voulant plus le lâcher. Les larmes coulaient toutes seules et salaient leurs baisers. Ce ne fut pas tout aussi simple à Dunbroch. Personne ne l’a crut. On l’a sermonné pour être parti aussi longtemps en leur donnant si peu d’information et pis encore pour aller dans les mondes étranges et dangereux des morts. On lui reprocha alors de ne pas avoir accepter le sort d’Hamish et qu’il devait s’y faire. Le mot « fou » était sorti plus d’une fois, légèrement, sur le coup de la colère et la peur mais ça se gravait dans le coeur de Harris. Ce n’est que le lendemain qu’Hubert se mit à croire Harris, mais Fergus et Mérida le pense en crise de folie.


crackle bones
Harris H. Dunbroch
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Harris H. Dunbroch
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Harris H. Dunbroch
Harris H. Dunbroch
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Âge : 25 ans
Harris Dunbroch - petit ours... roux ! Tumblr_mhtb2dojbI1r8nidqo1_500
Mon Histoire : Hamish est mort et habite le corps de son frère Harris. Ce dernier est allé le chercher dans les Mondes des Morts et il s’est retrouvé à partager son corps avec l’âme de son défunt frère dont il n’avait pas accepté la mort. C’était peut-être un peu irresponsable, il ne s’attendait pas à ce genre de situation. La cohabitation devient de plus en plus difficile et lui fait perdre la tête. – Il est à Riorim depuis un peu plus d’un an seulement, envoyé par le Lièvre de Mars après un conflit. Harris a compris rapidement où il était et s’est fondu au décor pour survivre et prend son mal en patience. Il n’est donc pas touché par le sort de l’Exile. – Il est apprenti boulanger sur l’île, ainsi il a un travail et gagne des sous afin de mieux survivre dans cette prison insulaire. Puis ça lui occupe l’esprit. Il aime particulièrement ce travail, loin de ses soucis et ses responsabilité en tant que Prince de Dunbroch. – Il vit chez Clochette sur l’île. Une sorte de colocation sauvage. Il n’est pas toujours là, des fois il est ailleurs quand il ne la supporte plus – Il ne parle pas seul, il parle à son frère. Ou alors c’est que c’est devenu une sale habitude. – Hamish est marié et Harris préfère les hommes. Ouais... Y’a des moments où c’est un peu compliqué.
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Dim 29 Jan - 12:55

Un  peu de pâtisserie pour panser ses peines.

Si c’est pas une blague c’est pas drôle !




Harris était dans la cour du palais de la Reine Blanche. Allongé sur un banc, il observait simplement les branches du sol qui tombaient tout autour et se balançaient gracieusement avec la brise matinale. Le soleil passait au travers de ce rideaux par des faisceaux brillants qui donnaient de l’éclat à la brume. C’est alors que Edmund, le Lièvre de Mars, apparut subitement debout devant lui. Harris qui avait fermé les yeux pour apprécier la sensations du vent et le bruits des feuilles qui se frottaient l’une à l’autre, ouvrit un oeil perturbé dans sa méditation. Le lièvre avait un sourire en coin et le roux entendit le sol se dérober de l’autre côté du banc. Il n’eut pas le temps de jeter un oeil au terrier qui se formait que son ami et son amant l’y jeta sans crier-gare. La panique. Harris tomba dans une chute qui paraissait sans fin avant de rencontrer violemment un sol terreux, soulevant un nuage de poussière. Lorsqu’il se releva, il se demandait où il se trouvait et prit le temps d’observer les alentours. Les rares habitations étaient étranges et il n’y avait pas âme qui vivent là où il se trouvait. Il appela Edmund, s’égosillant et s’il y avait eu un public serait passé pour un fou. Il parcourut alors ces terres. L’eau était proche et il comprit rapidement que c'était une île. Après plusieurs pas hésitants et un oeil observateur, il fut frappé par le coeur de cet endroit. Les vêtements, les machines, les voitures, tout était si différent. Même à Steamtown on ne voyait pas tout ça. Il s’était un instant demandé si c’était Atlantis, mais se rappela leur attributs. Il demanda à moult gens où il se trouvait et comment regarder la Forêt Enchantée. On l’avait regardé d’un oeil curieux et beaucoup l’avait fui. Il avait alors croisé Grace et lui sauta dessus. Il lui demandait de l’aide et comme tous les autres elle le regarda un instant éberluée. Il lui fallut un peu de temps, mais tant que ça pour comprendre où il était. A Riorim.

Il avait beau expliquer la situation, elle niait. Tout le monde le niait. Même Louis, le Lapin Blanc qui avait clairement compris que ce jeune-homme dont il n’avait jamais vu le visage ici, n’était pas un exilé, mais un parasite. Enquêtant un peu, il sut rapidement comment il était arrivé ici. Son cousin, Edmund March… Ce dernier était revenu à la rencontre d’Harris le lendemain. Le prince lui avait sauté dessus, bousculé et lui avait donné un bon nombre d’oiseau en ajoutant que ce n’était vraiment pas drôle. Son ami lui fit alors comprendre que depuis que le sang des Dunbroch s’était lié celui de la Reine-Blanche c’était devenu chaotique. La vie aux Pays des Merveilles n’étaient déjà pas facile tous les jours, mais ils n’avaient pas besoin que d’autre personne de Vesta viennent mettre leur grain de sel. Le sujet de discorde ? La santé mentale et physique d’Adélaïde. « Mais si je ne suis pas là ?! Qui va s'occuper d’elle hein ! » et le lapin réfuta qu’il le ferait et bien mieux que lui. « J’ai fais le serment de la portéger en me mariant avec elle ! Laisse moi remplir mon rôle.
_Tu n’as pas le droit de me faire ça ! On est ami non ? Comment tu peux être aussi cruel ! Arrête maintenant, fais moi revenir ! »
Edmund recula de quelques pas en secouant la tête pour lui signifier que c’était un « non ». Il ajouta que cela ne lui ferait pas de mal de rester un peu là-bas. Plus loin il serait d’Adélaïde et mieux elle se porterait. Voilà comme il le voyait. Il lui dit simplement que ce n’était qu’une blague et il disparut dans son terrier, abandonnant Harris à son sort. Le prince s’était jeté sur le sol, le frappant dans l’espoir d’ouvrir de nouveau le passage. Il ne pouvait pas rester là. Malheureusement, il n’avait pas le choix.

Il erra alors quelques jours, perdu ne sachant quoi faire, se lamentant et laissant le temps passer pour tenter d'effacer ses peines et retrouver la force de trouver une solution. Hamish ne put non-plus l'aider. Harris fini par travailler à la boulangerie de l'île. Ce fut comme un morceau de sucre qui aide la médecine à couler. Il se baladait lors d'une après-midi bien calme et s'arrêta une énièmes fois devant la vitrine de gâteau. Ce jour là il vit l'échoppe autrement. Ce fut comme un coup de foudre et un besoin de se retrancher dans des petits plaisirs. Il aurait bien dévorer deux, trois gâteaux histoire d'étouffer sa peine. Il n'avait pas le sous et n'avait pas encore envie de demander l'aumône. Il avait contourner la bâtisse pour finir sa balade quotidienne de l'ile en espérant peut-être trouver un feu-follets qui lui montrerai la voie. Ce ne fut pas un feu-follet mais une fenêtre, celle de la cuisine de la boulangerie. Il vit alors le boulanger, un vieil homme qui puisait dans ses dernières forces pour pétrir la fournée de pain pour l'après-midi. Il transpirait, soupirait et avait l'air à bout de force. "Dites m'sieur vous chercher pas quelqu'un pour vous aider par hasard ?" Avait osé Harris appuyé à la fenêtre, comme s'il se jetais du haut d'une falaise espérant trouver de l'eau en bas. Le boulanger, bourru l'envoya d'abord paître. Harris insista avec des politesse suppliantes. C'était un non. Le jeune prince revint le lendemain et le surlendemain. «  « T'es du genre coriace comme garçon. Tu t'y connait au moins en pâtisserie ?
_Je me débrouille ... le pain c'est pas mon truc mais les gâteaux si…
_Dans quoi tu t’embarques...
_Laisse moi tranquille !
_D’accord... fit le boulanger sceptique. Viens tu vas me montrer de quoi t'es capable."

Et il fallut peu de temps au boulanger pour voir que Harris avait raison. Rien qu'à sa façon de faire il y avait de l'amour dans sa confection. Il manquait encore d'expérience mais il s'appliquait et avait de bonnes bases. Il avait appris avec une des cuisinières du château et s'était trouvé une passion pour la pâtisserie. Le boulanger hésita un long moment en regardant la tarte aux pommes d'Harris et après l'avoir gouté. Il est vrai qu'il n'aurait pas été contre un peu d'aide. Surtout dans les fourneaux et il pourrais dépanner pour le service en salle de la partie salon de thé. "Je te prends à l'essaie. Je vais te former pour la confections des viennoiseries et gâteaux. On ne contredit jamais ce que je dis, on écoute et retient les règles ainsi que les conseils, on travaille tôt le matin sans se plaindre et le mot d'ordre est l'excellence et l'amour du bon pain. " Harris hocha vivement la tête tout heureux pour dire qu'il vendrait son âme s'il le fallait. Pour une fois il avait ce sentiment de vivre sa vie depuis le retour d'Hamish et c'est pour cela que ce dernier ne dit rien ni n'intervint. Sauf que ce qui devait être transitoire devint un quotidien juste assez agréable pour se voiler la face et fuir ses responsabilités. Une chose qu'Hamish avait du mal à laisser passer mais Harris devait être tout aussi têtu que lui.

Cela faisait environs 4 mois qu’il était là-bas. Il s’était intégrer à Riorim, adapté à leur vie et s’en était lui aussi inventé une. Enfin, il évitait de parler de lui, ça évitait les incohérence dans ses mensonges. Il trouva refuge chez Grace, qui sur l’île était gérante du pub l’Assommoir. Il allait lui rendre quelques coups de mains certains soirs quand il y avait besoin. Elle se faisait appeler Elianor et malgré tout ils s’entendaient aussi bien que lors de leur séjour en bateau. Il était très agréable et souriant mais… Il avait ces moment un peu inquiétants. Un soir, il y avait une adorable petite blonde aux belles anglaises qui avait le bégin pour lui. Elle venait souvent, restait vers la fermeture pour avoir l’occasion de discuter un peu avec lui et cherchait toutes les excuses pour échanger ne serai-ce que quelques mots. Un « merci » contre un sourire. Elle était très ravissante et pleine d’esprit. Harris venait de passer le chiffon sur les tables et relevait les chaises. La jeune-fille attendait tranquillement dans un coin du café, l’aidant même en arrosant les plantes.
« Laisse tomber, rentre chez toi tu l’intéresse pas » intervint Hamish si soudainement, d’une voix sèche. La jeune fille s’était arrêter dans son occupation pour le regarder un peu perdue.
« Je peux savoir ce qui te prends ?
_T’en a pas marre de lui faire perdre son temps. Ose dire que tu l’a pas remarqué.
_Mais je t’ai pas demandé d’intervenir je crois » commença t-il à siffler les dents serré. Il ferma les yeux et relevait sa main avant de fermer le poing. Il essayait de se contrôler, de se rappeler qui il était. Il avait envie de l’arrêter.
« Moi je lui en fais gagner.
_Mais je t’ai demandé de te taire. C’est mon corps…
_Rentre chez toi et trouve toi un mec bien » s’adressait Hamish à la fille qui les observaient avec une certaine angoisse peu discrète tirant les délicieux traits de son visage. On le voyait comme une jeune-homme « étrange », qui donnait l’air de se parler. Un peu dérangé. Or il était serviable et gentil quand on le connaissait. Il ne faisait de mal à personne en tout cas. Du moins jusqu’à maintenant. Il était simplement déroutant.
« Mais c’est quoi ton problème ? hurla Harris.
_Je sais pas. T’as pas l’air de t’inquiéter de la situation en fait. Toi qui joue les pâtissiers comme t’as toujours aimé le faire. Je te rappelle que j’ai une épouse à aimer et protéger jusqu’à la mort. Et Hubert, t’y pense ? Père ! Est-il encore vivant tu le sais ça ? Et tu penses pas qu’on s’inquiète pour nous ! le réprima Hamish.
_C’est mon corps, je te le répète ! Je suis le seul maitre à bord ! Refait plus ça pour un caprice. J’en ai marre de passer pour une dingue !
_Bah la prochaine fois écrase et laisse moi faire.
_Non ! J’ai le droit à ma vie aussi ! Je m’écraserais pas. Soit déjà heureux que je t’ai sorti de là !
_Et pourquoi m’avoir sorti de là !!?
_Parce que ! Il le fallait tu comprends pas !!! » n’avaient-ils cesser de hurler en parlant avec une seule et même bouche. Harris se calma et reprit plus calmement, la voix brisée : «  J’avais l’impression d’être perdu…
_Et maintenant t’es perdu avec moi Harris. T’es qu’un irresponsable. » Finalement, c’est dernières paroles c’était Hamish ou lui qui les avait dites ? Harris aurait très bien pu se le reprocher, car il était là l’auteur de sa culpabilité actuelle. Il le savait qu’il était irresponsable. Il n’aurait pas du aller le chercher chez les morts, ni même fricoter avec une personne aussi instable que le Lièvre de Mars. Il ne savait plus du tout où il en était, ni même qui il était. Il ferma la boutique et alla directement au lit sans manger, histoire de s’oublier un peu. A son réveil, il eut cette horrible sensation de n’être qu’une coquille vide.


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Harris H. Dunbroch
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Louis White-R.
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Louis White-R.
Louis White-R.
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Mon Histoire : il était un petit navireuh qui n'avait ja-ja- jamais naviguey ohey ohey
ohey oheyyyy matelot ! mateloe naviiiigue sur les flooooots !


Un jour, j’aurais la foi de refaire mon profil que Robyn à pourri What a Face un jour... xD
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Messages : 722
Date d'inscription : 15/01/2017
Sam 10 Juin - 23:55
Pas la foi de changer le background, mais l’histoire de Mérida Dunbroch sera prise en compte, en jeu. Et donc annule pas mal de situation.
Louis White-R.
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