Les sirènes résonnaient sur Riorim. Il arrivait, il était là, venant toujours ébranler l’île une fois par an. Le Déluge ! L’avis de tempête tonne alors sur toute l’île. Le vent à commencé à se lever, les pluies sont torrentielles et glacése. La mer s’agite, en colère. Elle ne s’annonce pas moindre. Non, cette fois c’était une bonne grosse tempête qu’on espérait n’avoir qu’une fois dans l’année.
Le centre médical est sur le pied de guerre. Les autorités et secours sont sur le quivive, radio en main et véhicule dehors qui tournent de plus en plus difficilement. C’est qu’une benne – pleine – vient de leur barrer d’un camion de pompier, renversée sur le bitume, emportée par le vent. Et ce vent n’avait pas fini de s’emporté. Les garde-côtes sont dispatchés dans le phare et les docks, jumelles sur l’océan. Les bâteaux ont tous été appelés et ont été amarrés en vitesse. Ils disparaissant parfois derrière la houle tourmentée de l’océan ou ballotés par les vagues colossale. Notre garde-côte en chef est en ville pour organiser le déploiement des secours et la sécurité sur l’île, comme le directeur de l’hôpital qui s’occupe de recevoir des blessés en urgence et en masse dans son établissement. Le bétail a été rentré à temps dans l’immense hangar renforcé en béton pour protéger tous les animaux de l’élevage, les gens sont cloitrés chez eux et attendent la fin. Une partie se trouve se rassembler sous le marché couvert. Les Rimois sont préparés à ce genre d’événement. Il y avait bien des années où il y avait un peu de vent et de pluie ou un petite tempête, puis parfois comme là, le temps se déchainait et rappelait à quel point ils n’étaient rien face à la nature. Ils étaient préparés... Ce n’était pas la première mais ce n’était jamais sans risque.
Si vous n’êtes toujours pas rentré chez vous, vous pouvez prendre le risque de rentrer chez vous par vos propres moyens. Vous pouvez le tentez ! Vous y arriverez sûrement. Sinon, chercher un endroit solide ou vous cloitrer. Des gens auraient peut-être besoin de votre aide aussi. N’hésitez pas non-plus à donner de l’aide aux secours ou toutes personnes officielles si vous vous sentez l’âme d’un héro, incapable de rester là les bras croisés sans rien faire. Sinon, restez bien à l’abris si vous y êtes déjà. Nous resterons centrés sur la partie Est de l’île.
Explications et règles - Il n’y a pas d’ordre de passage et répondez autant de fois que vous le souhaitez entre chaque intervention du Maitre de Jeu. Vous postez comme vous le voulez. - Le MdJ interviendra si besoin pour commenter, donner un résultat, faire une mise au point ou ajouter des événements perturbateurs. On vous annoncera toujours quand le MdJ postera. - Privilégiez les réponses courtes. Vous avez droit à un minimum de 200 mots. - Lisez-vous bien entre joueur pour s’harmoniser. - Possibilité de lancé les dés pour une action ou de demander l’avis du MDJ (indiquer le clairement en hors RP ou dans votre texte entre crochet par exemple)
code (c) crackle bones
Mayor Woods
Hansel Petrovitch
Hansel Petrovitch
Écus d'Or : 25
Âge : 32
Schizophrénie : vous excitez pas, c’est ENCORE moi : louis, drago le glouglou, ebony, vael et harris et j’espère ne pas en avoir oublier.
Messages : 22
Date d'inscription : 29/10/2017
Mer 6 Déc - 9:25
Les sirènes retentirent durant un moment sur l’île. Hansel était entrain de se balader dans la rue commerçante de la ville, près du marché couvert. Il faisait ses petites emplettes comme tous le monde. Il cherchait même plus précisément un cadeau de Noël pour Izobel. Il n’avait aucune idée et cela lui avait pris facilement plusieurs heures. La pluie avait commencé à tomber et un sacré vent fouettait l’île et ses habitants. Rien de bien alarmant en bord de mer et entre l’Irlande et l’Islande. Sauf que les doutes de chacun en cette saison furent confirmé. L’alerte d’une tempête avait été lancé.
Hansel avait l’habitude et au lieu de tenter de rentrer chez lui, il prit son mal en patience et resta sous le marché-couvert en attendant que cela passe. Le vent s’est levé et la pluie est torrentielle. Les gouttes vous lacèrent la peau à l’extérieur. Il y avait encore des gens qui arrivaient pour se protéger. Hansel observait les rues de l’une des grandes portes des halles qu’on avait laissé ouvert pour les rescapés. L’armature en fer du marché commençait à grincer et se tordre sous le froid et le vent incessant. Il ne put s’empêcher de regarder en l’air et prier pour que l’endroit tienne debout jusqu’à la fin.
Un camion de pompier arrivait non loin et se vida. Une nouvelle foule de personne courut pour se réfugier, accompagner de deux soldats du feu. Le reste de la troupe parti avec le camion pour faire le tour de l’île. La radio des hommes en uniforme crachait sans s’arrêter.
Accueil
Lun 4 Déc - 13:07
