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fast - froide compassion (carrie) [v]

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Louis White-R.
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Louis White-R.
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Écus d'Or : 865
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fast - froide compassion (carrie) [v] Ac1bfc483b6f90d764c80f16a8408616
Mon Histoire : il était un petit navireuh qui n'avait ja-ja- jamais naviguey ohey ohey
ohey oheyyyy matelot ! mateloe naviiiigue sur les flooooots !


Un jour, j’aurais la foi de refaire mon profil que Robyn à pourri What a Face un jour... xD
Schizophrénie : drago bludvist ⎪hansel petrovicth ⎪ vael moreau ⎪ harris h. dunbroch
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Date d'inscription : 15/01/2017
Dim 1 Oct - 11:23
En quelques mots
Quelques semaine après...
Ne soyez pas si pressé de croire tout ce qu’on vous raconte.
Louis est de passage dans la demeure de The Witch et il croise Carrie dans un sale état, ayant reçut des sévices.




Alexander Hamilton - various

Il avait un contre-rendu à faire à la Sorcière et puis, il avait envie de changer d’air, de sortir un peu de Riorim. Il ne pouvait pas allez où il le souhaitait et être tranquille, alors pour éviter d’être traqué, épié ou pressé par le temps, il se reposerait un peu dans le château de sa geôlière. Il ne se déplaçait qu’en terrier et cela devait faire facilement quelques jours qu’il était là, or on ne le croisait jamais. Cloitré dans sa chambre, ou alors dans les sous-sols humides des cachots, histoire d’être un peu seul avec lui même, dans le silence, l’obscurité et la pierre glacée. C’était comme s’il était mort et il arrivait à respirer et se vider la tête de toutes ses voix qui lui hurlaient dans la tête.

Et à un moment il décida de sortir et être à la vue de tous. Il se baladait dans les couloirs cherchant la bibliothèque, un encas qu'il grignotait déjà en chemin. Il avait bien envie de se plonger dans l'univers des atlantes par les récits légendaires qu'on pouvait trouver dans un bon nombre d'ouvrage. Or ses projets risquaient de changer.

acidbrain


Louis White-R.
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Lun 2 Oct - 10:43

Louis & Carrieta
Absolem ▽ Aucune épreuve n'a jamais été surmontée par des larmes.  
Alors c'est ça, se prendre une raclée ? Qu'est-ce que ça fait mal ! Qu'est-ce que tu croyais ?! Je ne sais pas, ce ne sont pas mes parents qui allaient me mettre la main dessus, j'étais bien trop gentille comme enfant et puis je n'avais pas d'amis donc je ne suis pas du genre à jouer à la bagarre. J'ai autant de dispositions à me battre qu'une otarie qui voudrait apprendre les claquettes !

Tu ne récoltes que ce que tu sèmes. Tu croyais que la Sorcière allait te laisser te défiler à chaque fois que la fourrure sur patte te fait pleurer ? La première fois passe encore, tu étais une novice mais là tu te permets d'être nulle et tu voudrais qu'elle te remercie ?
Mais de quel côté tu es ! Je dis seulement que si j'avais une espionne aussi nulle que toi et bien moi aussi j'aurais demandé à Carlos de te parler entre quatre yeux....

Je comprends pas pourquoi tu ne te manifestes pas quand je dois parler à The Witch, on s'entendrait tellement bien ! Simplement parce que ce n'est pas le trait le plus marquant de ta personnalité. Désolée mais tu n'es pas une meneuse. Je sais pas comment le prendre..... venant de ma propre conscience. Ne le prend pas personnellement et accepte la vérité comme elle est. En attendant j'ai mal ! Je sais chérie mais me parler te fait t'échapper de cette torture. Il a bientôt fini. Connaissant Carlos il va te porter comme un sac à patate et te jeter au pied de ton lit. Il pourrait te jeter sur le lit mais à quoi bon.

Il va forcément passer devant la bibliothèque pour rejoindre ta chambre. Puis la Sorcière viendra sûrement te dire que tout ceci ne serait pas arrivé si tu t'étais montrée plus efficace. Ma pauvre chérie. La seule chose pour laquelle je peux être utile c'est uniquement de t'empêcher de regarder dans le miroir car je t'assure que tu as une tête affreuse. On dirait une boxeuse poids plume qui se serait trompée de ring avec une poids lourd ! En même temps c'est exactement ce qu'est Carlos. Un poids lourd. Pour cette fois Carrie, je pense qu'on a bien mérité de se mette en position foetus sur le carrelage froid de notre chambre.▲ Carrie
(c) AMIANTE


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Louis White-R.
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Mar 10 Oct - 19:52

Alexander Hamilton - various

Louis marchait tranquillement vers la bibliothèque, perdu dans ses pensées. Il réfléchissait à ce qu’il avait dit à The Witch et ce qu’elle lui avait dit en retour, puis se faisait une to-do-list mentale de ce qu’il avait à faire une fois de retour sur Riorim. Et parfois, il pensait à Aliénor. C’est alors que des bruits l’interpellèrent. Des pas lourds. Le garde passa près de lui, Carrie sous le bras. Louis leva un sourcil sceptique en la voyant passer. Elle était dans une position telle qu’elle ne l’avait pas vu. Il finissait de grignoter son encas, la tête maintenant pleine de question. La position qu’elle avait sous le bras de l’homme, il la connaissait bien pour l’avoir vécu. Il y avait aussi son souffle faible et comme douloureux à chaque mouvement.

L’homme s’enfonça dans le couloir. Louis resta un moment hésitant devant la porte de la bibliothèque, ses yeux sautant parfois vers la chambre de Carrie. L’un puis l’autre et l’un, et l’autre et… ainsi de suite, jusqu’à ce que l’homme repasse devant lui et le toise. Louis étrécit les yeux avec insolence et opta pour la chambre de Carrie. Il poussa doucement la porte après un regard par-dessus son épaule. Il la referma sans bruit derrière lui et balayait la pièce du regard. Elle n’était pas dans son lit et nulle part-même. Il fit quelques pas et la vit de l’autre côté. Il eut un sourire dépité et s’approcha. Ses chaussures claquaient sur la pierre. « Relève toi… Tu me fais pitié… » dit-il avec froideur et son éternelle insolence. Sauf que là, il lui tendait la main. « Allez… Relève toi. Ton lit sera plus confortable... »

acidbrain


Louis White-R.
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Ven 13 Oct - 12:39

Louis & Carrieta
Absolem ▽ Aucune épreuve n'a jamais été surmontée par des larmes.  
Je crois que depuis que le gorille m'a jeté sur le sol de ma chambre, je n'ai pas bougé. Je suis toujours en position foetus et je commence à avoir froid mais je m'en fiche, je ne compte pas bouger de si tôt. Je suis fatiguée et j'ai mal partout, même ouvrir les yeux est douloureux.

Je ne sais pas depuis combien de temps je suis comme ça mais au bout d'un moment j'entends des pas sur le carrelage de ma chambre. Je me recroqueville encore plus et tremble légèrement de peur à l'idée de ce qu'il va m'arriver. Je ne veux plus avoir mal, je n'en peux plus ! Et s'il venait pour m'achever ? Si la Sorcière m'a condamné et qu'il vient juste s'amuser un peu avec moi avant de me tuer ? Je ne veux pas mourir et je ne veux pas qu'il me touche ! FERME LA, Peur... Ce que tu fais ne sert à rien ! Oui mais je ne peux pas m'en empêcher...

Au bout d'un moment qui me sembla interminable, la personne se mit à parler et c'était une voix familière. Pour le coup, elle me semblait presque irréelle. Je n'ai pas bougé tout de suite et quand j'ai essayé je n'ai pas réussi. Je n'étais plus qu'un corps tuméfié et tremblant et je n'avais certainement pas envie de supporter le mépris et les sarcasmes de Louis. Dis lui d'aller se faire foutre ! J'aimerai bien mais je n'arrive pas à ouvrir la bouche. Si je pouvais parler, je lui dirais "Fous le camp ! J'ai pas envie..... j'ai pas envie de te supporter maintenant." mais je n'en ai pas la force... Je ne lui lance même pas un regard. Mais ca c'est parce que je n'en ai pas envie. Je ne sais pas pourquoi il essaye d'être gentil, peut être pour pouvoir mieux m'enfoncer ? Quoi qu'il prépare, ce n'est pas le moment. ▲ Carrie
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Sam 14 Oct - 23:43

Alexander Hamilton - various

Alors qu’il s’approchait, la demoiselle s’était raidit et refermée plus sur elle même. Craintive. Il connaissait aussi ce genre de réaction. Ses soupçons se confirmait. Louis lui adressa la parole avec toute la délicatesse qu’on lui connaissait, soit : aucune. Il lui tendait la main et l’invitait à gagner son lit, légèrement plus doux. On n’aurait pas dit, c’était subtil mais si on faisait attention, c’était bien le cas.

Forcement elle l’envoya balader. Elle n’était pas d’humeur à le supporter, ni même le voir. Elle préférait être seule et purger sa peine tranquillement. Cela aussi, il connaissait très bien. Enfin surtout depuis qu’il en avait pris la sale habitude à se faire cogner dessus. Au bout d’un moment, on n’espérait plus des gestes tendres et des consolations. Non, on préférait qu’on nous foutte la paix à souffrir en silence, en solitaire, et oublier sa dignité. Elle lui avait demandé de partir. Louis soupira et claqua la langue d’agacement. « Tu crois vraiment que c’est le moment de jouer tes enfants fières là ! »

Il roula des yeux et se baissa pour l’attraper. Une main sous son dos, il rabattait les bras de la brune autour de son cou. Il glissa ensuite l’autre sous ses genoux et la soulevait lentement tout contre lui. Il ne la regardait pas dans les yeux. Non, il la dévisageait pour faire un état-des-lieux de son corps. Puis délicatement, il la posa dans son lit. Son visage était impassible et toujours si fermé et suffisant. Il s’éloignait et s’approchait de la cruche d’eau et du morceau de tissus qui reposait pliée sur le bord de la coupe. Renversant la carafe, il humidifia les linges et s’approcha d’elle pour d’abord lui rafraichir le visage. Louis posa sa main chaude sur sa mâchoire pour lui relever le visage et tamponnait doucement son front. Il s’attardait sur ses tempes et ses yeux. Après, si besoin était, il essuierait le sang. Il n’y avait pas besoin de mot.


acidbrain


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Dim 15 Oct - 0:48

Louis & Carrieta
Absolem ▽ Aucune épreuve n'a jamais été surmontée par des larmes.  
Qu'est-ce qu'il veut encore celui la ? Je ne sais pas et je m'en fiche. Franchement je n'ai aucune envie de penser à lui maintenant. Pourtant il va bien falloir car il n'a pas l'air d'avoir envie de partir.

Au moment où Louis passe ses bras autour de moi, je crois que mon coeur manque un battement. Je ne pensais pas qu'il me porterai. Honnêtement je pensais qu'il vérifierait avec son pied de voir si j'étais encore vivante alors me retrouver tout contre lui.... c'était vraiment la dernière chose à laquelle je m'attendais. Et forcément il fallait que ça soit dans ce genre de situation. La dernière fois j'étais droguée et maintenant je suis amochée! C'est peut être parce que dans ton état naturel tu lui es totalement indifférente?! ..... Continue de te mentir à toi même si ça peut te faire plaisir mais arrivera bien un moment où tu finiras par accepter la dure réalité.

Louis me déposa sur mon lit et une grimace se dessina sur mon visage. Chaque membre me faisait mal, mon visage chauffait et mes oreilles bourdonnent. Je dois vraiment, vraiment avoir une sale tête. Je me sens tellement laide et honteuse qu'une larme ne peut pas s'empêcher de couler le long de ma joue. Je tourne mon visage contre le mur alors que Louis essaye de s'occuper de moi mais.... Je n'ai pas envie qu'il soit là ! Je ne veux pas qu'il me voit comme ça ! Je ne veux pas lui parler ! Je veux être seule et pleurer toute la nuit sans qu'on se moque de moi ! Quoi en temps normal tu aurais vendu un de tes reins pour qu'il soit aussi tendre avec toi et là tu veux qu'il s'en aille ? Je me fiche pas mal de sa pitié! ▲ Carrie
(c) AMIANTE


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Dim 15 Oct - 1:09

Alexander Hamilton - various

Il était penché au-dessus d’elle et lui tenait la tête le menton haut pour venir lui humidifier le front avec la fraicheur de l’eau, puis les temps. Une larme coula. A en observer ses yeux rougies, ce n’était pas la première. Il caressa alors tendrement une paupière, puis l’autre d’un geste lent et symbolique. Sa main ferme sur sa mâchoire glissa derrière sa tête et se nicha dans sa nuque. Elle était plus leste. Puis il vint tamponner sa lèvre enflée et qui saignait. Une belle droite pour marbré sa peau immaculé.

Il la regardait un moment, sans bouger et ne dit toujours rien. Puis il la lâcha et s’écarta. « Repose toi. Je vais... » fit-il une pause pour balayer la salle des yeux. Il vit un fauteuil dans un coin de la chambre. Il le pointa du doigt. « M’installer là pour la nuit. Tu peux dormir et pleurer tranquille. » avait-il dit avec son rictus d’une insolence naturelle. « Personne ne reviendra te faire du mal » avait-il murmuré, levant la tête pour regarder dans le vague. Des mots qu’un ancien lapereau aurait aimé entendre les premières fois. Quand il était encore innocent et avait espoir. Il était ailleurs. De douloureux souvenirs d’une enfance brisée qui remontaient du fin fond du Tartare et m’aggripaient comme des âmes en peine.

Il jeta alors le linge humide sur le lit et fit un geste circulaire de la main devant lui. Les pierres du sol dégringolèrent les unes après les autres et un terrier s’ouvrait. Il sauta dedans et revint peu de temps après. Le sol se reconstruit comme si de rien n’était d’un nouveau geste de la main. Il agitait un flacon de baume avec un petit sourire mutin. « Tu me permets de te toucher ? ». Il s’assit sur le lit et sourit légèrement. « C’est juste pour soigner les bobos du gros bébé devant moi... » ne put-il s’empêcher de la taquiner. Mais là, c’était presque de l’affection. Presque.  


acidbrain


Louis White-R.
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Dim 15 Oct - 1:43

Louis & Carrieta
Absolem ▽ Aucune épreuve n'a jamais été surmontée par des larmes.  
Bon j'avoue qu'au début je me laisse un peu faire. Le contacte de ses mains sur mon visage est tellement agréable malgré tout.... Ça y est tu arrêtes de lui faire la tête pour rien ? Je ne lui fais pas la tête ! Enfin si.... Mais certainement pas pour rien ! Pourquoi est-ce qu'il est là en vrai ? Je veux dire pourquoi est-ce qu'il est ici, si au final c'est pour me farcir les oreilles de ses réflexions perfides ! Pourquoi est-ce qu'il ne va pas voir ailleurs si j'y suis ? Pourquoi tant de fausses gentillesse ? Ou de la fausse méchanceté ? Quoi que ce soit, ça sonne faux.

Il soulève ma nuque et je le laisse faire, ne serais-ce que pour vérifier en même temps que lui que tout va bien de ce côté là. Louis me repose et coûte que coûte je m'éforce de ne pas croiser son regard.

Quand il finit par s'écarter, je me suis dis qu'il allait s'en doute s'en aller mais non. Il dit qu'il va prendre place dans le coin et veiller sur moi pendant que je pleure...... Grrrr je ne sais pas pourquoi mais toutes ses marques d'attentions ont le dont de me rendre folle ! Je devrais être sur un petit nuage qu'il s'occupe de moi et pourtant ce n'est pas le cas.... Et je ne sais pas pourquoi !

Heureusement Louis finit par s'absenter, alors je me mets en position foetus, face au mur. Je m'imagine être dans une bulle dans laquelle personne ne peut m'atteindre... même pas Louis... Mais le voilà de retour et il veut.... me toucher....

Pour une fois, aucune réaction. Je reste impassible. Je m'en fiche, je suis dans ma bulle. ▲ Carrie
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Sam 28 Oct - 1:16

Alexander Hamilton - various

Si Carrie était aussi perdue, ce n’était pas de sa faute, mais bien celle du Lapin. On ne savait jamais comment se tenir avec lui, comment prendre les choses. Même quand il était attentionné, il arrivait à être infecte. Une vieille habitude d’être détesté qu’il le faisait naturellement. Ses gestes étaient d’une bienveillance sincère, cela allait sans dire, mais quand à son attitude ou ses paroles, c’était comme une besoin de camoufler cette générosité et tendresse en lui qu’il a tendance à oublier lui-même. On avait si peiné à lui donner tout ça, qu’il ne savait plus comment le faire et son esprit avait l’air détaché de son corps.

Il était partit un instant par un terrier pour revenir avec un tas de médicament magiques ou simplement composé de plantes médicinale. Il avait ramener un onguent à appliquer sur ses hématomes. Il s’était assis dans le lit, dévissant déjà le pot de son couvercle en liège et passa un doigt dans la pâte grasse pour en récupérer une bonne noisette. Il commença par celui qui lui gonflait la pommette droite. Penché sur elle, il était très concentré sur ce qu’il faisait, lançant un ou peut-être deux regard furtifs à la brune. Il déposait la pâte et laissait une partie en surface qui continuait d’agir. Il en appliqua aussi sur les plaies qu’elles avaient aux mains.

Il reprit une louchée de baume dans une main et de l’autre, il souleva les vêtements de Carrie juste pour découvrir sa hanche. Un coup de chance, il avait une chance de ne rien trouvé, mais connaissant le garde, il aimait bien les bon gros coups de pieds quand on était allongé au sol. Louis posa alors la pâte grasse et froide avant de venir l’étaler avec le paume de sa main. Il joignit la deuxième à l’ouvrage, massant légèrement pour faire pénétrer. Son regard était absent. Le lapin l’était tout simplement, un pied dans ses douloureux souvenirs. Quand on le connaissait, qu’on savait son histoire on aurait pu avoir de la peine pour ce visage de lapereau mal-aimé. En pansant Carrie, c’était ses propres blessures qu’il essayait de guérir.


acidbrain


Louis White-R.
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Mer 1 Nov - 16:09

Louis & Carrieta
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Je ne sais pas pourquoi il fait ça. Je veux dire, c'est pas comme s'il m'appréciait plus que ça. C'est pas comme si j'avais envie qu'il soit là. C'est pas comme s'il pouvait faire quoique ce soit pour me faire aller mieux. Tout ce que Louis était capable de faire, c'est faire tourner les choses de mal en pis ! Haaaaaaa ! Enfin tu m'écoutes ! Non.... C'est juste que je commence à m'habituer à la façon qu'il a de me traiter et je n'ai vraiment pas envie d'être dans l'un de ces jours. Je ne veux pas qu'il m'explique en long et en large pourquoi je suis dans cet état, je ne veux pas qu'il me dise comment ça pourrait aller mieux et je ne veux surtout pas entendre que ça me servira de leçon de pour l'avenir ! Non. C'est décidé, la violence, les complots, la méchanceté, tout ça c'est pas ma came. Ce n'est pas du tout mon univers ! Moi je veux simplement être une exploratrice, une aventurière. Je voudrais pouvoir profiter de ce que le monde a à m'offrir. Pourquoi est-ce que je me fais du mal en étant ici ? Pourquoi est-ce que je subi tout ça, en réalité ?

Pendant que je remets en question tout le reste de ma vie, Louis commence à passer de la pommade sur mon visage gonflé. Il fit très attention de ne pas me faire mal, mais j'étais bien trop remonté pour faire attention à ses marques d'affections. Je m'en fiche à vrai dire. Tout ce que j'avais envie de lui dire c'est : Faut que je sois à l'article de la mort pour que tu te comportes comme un être humain ?! Mais non. Je n'ai rien dis. Aucun mot ne sortait de ma bouche, même pas des mots méchants. Je n'avais pas envie de lui parler, mais vraiment aucune envie. Que ça soit pour être gentille, méchante, neutre.... peu importe, tout ce que je veux c'est de la paix et de la tranquillité, quant à mon corps meurtri, il a besoin d'amour et de tendresse.

Pour ne pas parler que de moi, je trouve quand même que Louis est bien silencieux. D'habitude, il ne se serait pas gêné pour me sortir une réplique cinglante et inapproprié, qu'il aurait pu garder pour lui. Mais là, rien du tout, seulement un agréable massage et de l'attention nouvelle. Sans oublié le silence de mort. Quand je commence à réalisé qu'il est vraiment et sincèrement en train de s'occuper de moi, j'accepte de lui accorder un regard. Un seul et unique regard pendant qu'il soulève mon tricot pour y appliquer son baume. En le regardant, je remarque sa bouille penaude et son regard absent, le genre de regard qui signifie que notre cerveau est en pleine sélection d'image souvenir, veuillez réessayer ultérieurement. J'ai papillonné des cils pour capter son attention mais non, il est perdu dans ses pensées/souvenirs..... Lentement mais surement, je soulève une de mes mains et la pose sur la sienne en le regardant. Quoi, ça y est tu craques ? Personne ne mérite de souffrir comme je viens de le faire, encore moins un Louis plus jeune et plus innocent. Pour la première fois depuis que Louis est entré dans ma chambre aujourd'hui, je ressens de nouveau de la sympathie pour lui. Même plus, je voudrais avoir le moyen de retourner dans le temps et de m'occuper de petit Louis pour le protéger, l'aimer et le chérir. Je resserre mon emprise autour de sa main pour lui faire comprendre, même silencieusement, que je voudrais pouvoir, moi aussi, panser ses blessures. ▲ Carrie
(c) AMIANTE


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Dim 12 Nov - 22:03

Alexander Hamilton - various

Il avait appliqué délicatement le baume sur les hématomes de la jeune brunette. Elle n’avait peut-être pas fait attention à sa tendresse, mais lui non plus. Ses gestes étaient comme une entité à part de lui. Ce n’était pas un automatisme du à l’habitude, mais qui faisait écho à des souvenirs personnels et douloureux. Des douleurs dont il n’a jamais parlé. Des douleurs dont il n’eut pas besoin de parler, car on les devinait. On les voyait. Maintenant, c’était trop tard. Il s’y était fait et il avait besoin de ce mauvais traitement pour se sentir vivre et aimé. Exister Si on s’acharne, c’est parce qu’on est encore touché. Le regard ailleurs, c’était une mainsbienveillante dont il avait toujours rêvé plus jeune qui venait finir son travail.

Il continua sans cérémonie et surtout sans aucune gêne de chercher le reste sur son corps. Après ce qu’ils s’étaient tous les deux permis un soir dans une voiture, il n’y avait plus de timidité à avoir à ce moment là. Il n’était pas dans cette idée là non-plus. Ce n’était pas un ravissant et adorable corps qu’il voyait, mais des bleus qui marbrait la peau diaphane de la jeune-femme. Il n’avait pas dit un mot. Il n’y avait pas besoin. Il n’avait pas envie d’en rajouter. Il n’avait pas non plus envie de s’épancher. C’est déjà assez humiliant comme ça. Humiliant et honteux. Leur regard se croisèrent alors. Louis resta un instant dans le vague. Il sentit subitement une main sur la sienne. Il eut un sursaut. Il regardait sa main, puis Carrieta. Elle serrait l’étreinte sur sa main. Il y eut un malaise et il finit par froncer les sourcils. Son regard et sa main se dérobèrent. Il se penchait pour reposer le pot sur la table de chevet et essuyait sa main sur un coin de la couverture.

Il se levait pour quitter le lit et trouvait place sur un fauteuil proche de la fenêtre. La lune frappait la pierre et laissait apparaitre un halo bleuté sur la place. S’y lâchant lourdement, il portait son attention sur le ciel d’encre, les jambes croisé sur l’accoudoir. Il lui avait dit, il la veillerait ce soir.

acidbrain


Louis White-R.
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Jeu 16 Nov - 21:23

Louis & Carrieta
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Ok, je sais que je devrais simplement profiter de ce moment et me taire mais là quand même y'a quelque chose qui cloche. Quoi encore ? C'est quoi cette fois le problème, Parano ? Je ne suis pas Parano..... Je suis simplement sûre que quelque chose ne va pas ! Mais enfin regarde le on dirait un fantôme ! Ou qu'il a vu un fantôme !

J'ose regarder Louis pendant qu'il m'applique encore de son baume, qui je l'espère fera effet. D'ordinaire, quand je le regarde, j'essaie de faire en sorte que ça arrive de moins en moins souvent, je m'attarde toujours sur sa chevelure, le contour de son visage ou sur ses mains. J'aime bien ses mains. J'aime la façon qu'il a d'avoir toujours la mine sérieuse, comme s'il ne savait pas ce que c'est que sourire, sincèrement je veux dire. Bon en fait, j'avoue, je ne le regarde pas vraiment, je l'espionne. Quand il est dans le château, j'aime bien le regarder lire ou même marcher dans le couloir sans qu'il le sache. J'ai peut être l'air d'une psychopathe mais c'est toujours quand les gens sont sûr que personne ne les voit qu'ils sont vraiment naturels. Heu........ Pourquoi on en vient à parler de ça, encore ? On devait juste regarder sa tête de fantôme, pas faire un monologue sur les 50 nuances de ta maladie mentale. Je suis pas malade. Oh que si. Moi qui suis dans ta tête, je commence à me poser de plus en plus la question et je crois bien qu'il faut se faire à l'idée que tu tournes juste pas très rond. Mais c'est pas grave, on te supportera que plus facilement en sachant que tu es malade. Mais t'es dégueulasse ! Et si on se reconcentrait sur le moment présent ?

Je crois qu'il n'a pas aimé mon geste de compassion.... On s'en fou, passe. Il est assit près de la fenêtre.... Ce silence est pesant. Autant tout à l'heure je n'avais pas envie de lui parler, autant je ne pensais pas qu'il se tairait vraiment.... Je crois que finalement je préfère l'entendre me dire des vacheries. T'es bien sûre de ça ? Bon non c'est pas vrai mais quand même.... S'il y a bien quelque chose dont je suis sûre, c'est que je donnerais tout pour qu'il dise quelque chose. C'est repartit....

- ... .... *Tu vois, tu ne sais même pas quoi dire. Si c'est pas le signe que tu dois te taire....*

En attendant je préfère me lever et aller m'asseoir à ses pieds. Je me cale contre ses jambes et pose ma tête sur ses genoux. A mon tour, je me mets à regarder le ciel et à penser à toutes ces nuits où j'ai eu peur des monstres dans mon placard, mais moi j'avais toujours papa qui venait et qui me chantait des chansons pour que je me rendorme...

- ... La maman tortue et le papa tortue et les enfants tortue iront toujours au pas... Tu connais des chansons toi ? Parce que ce silence...


J'espère qu'il m'entend de là où il est.... mais je ne veux pas non plus le brusquer. S'il m'a entendu, tant mieux, sinon... je me contenterais d'écouter battre mon cœur en fredonnant des chansons pour qu'il n'ait plus peur. ▲ Carrie
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Louis White-R.
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ohey oheyyyy matelot ! mateloe naviiiigue sur les flooooots !


Un jour, j’aurais la foi de refaire mon profil que Robyn à pourri What a Face un jour... xD
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Dim 26 Nov - 18:16

Alexander Hamilton - various

Il s’était isolé un peu, éloigné du lit. Il veillait sur elle qu’il avait dit, il le ferait. Elle pouvait dormir tranquille. Ce qu’elle ne fit pas. Il l’avait entendu bouger, mais il ne lui porta pas un regard, restant le regard lointain à travers la fenêtre. Carrie avait quitté son lit pour s’approcher de lui et vint s’asseoir à même le sol froid, se freyant une place entre les jambes du lapin. Il avait brièvement regarder la jeune-fille se nicher avec complicité contre lui, levant les sourcils, sceptique. Il relevait son regard vers là-bas. Le silence régnait et… Elle s’était mise à chanter. Louis roula des yeux. La main posée non charmant contre sa bouche alors qu’il repartait dans les souvenirs de ses terres d’origine, il tapotait nerveusement ses doigts contre ses lèvres comme pour retenir de cracher son venin. « C’était très bien avant que tu ne chantes. » avait-il répondu, sans aucune émotion dans la voix, ni trop fort, ni trop bas.

« Dis tu veux pas juste aller te coucher ? Profiter de ce que t’as eu là. Pousse pas le bouchon, je suis pas comme ça très longtemps. Surtout pas quand on m’astique. » Il baissa enfin son regard sur la demoiselle et replaçant une mèche de cheveux derrière son oreille, il en profita pour glisser légèrement la main dans ses cheveux. « Je veux dire… » reprit-il moins sèchement. « Tu devrais te reposer. »

acidbrain


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