« Tu as été un bon serviteur mais un seul de nous peut vivre, et je suis immortel » Harry Potter
nom. white-rabbit, mais seule White est resté à la longue. Tout comme à Riorim, on ne l’appelle que White, mais cette fois-ci son nom de scène est White-Woods. prénom. louis âge. 32 ans pour son espèce, parait donc plus jeune et est plus jeune mentalement qu’un humain. conte. Alice aux Pays des Merveilles personnage. Le Lapin Blanc. date et lieu de naissance. 28e P.B. av. E, à Wonderland. situation. asservi par de grandes femmes. orientation. pansexuel fonction/profession. Il était le subalterne et souffre-douleur de la Reine de Coeur, ensuite il a été asservi par The Witch pour faire le sale travail et l’aider à se déplacer dans tous Vesta, pour traquer les infidèles et les exiler par exemple. Puis il a fini par être le chaperon de l’île, ayant conscience de ce qui se passe et veille à l’équilibre de l’illusion qui règne à ce jour sur Riorim. pouvoir(s). transformation : il peut prendre tout simplement la forme de lapin ou d’humain. Il peut ne faire apparaitre qu’une partie de son corps, mais contrairement à la transformation complète en l’un ou l’autre, cela lui demande plus de concentration. terriers : il a la possibilité de construire des terriers qui peuvent l’amener où il le souhaite et ainsi parcourir Vesta en un claquement de doigt. Vesta et ailleurs. invisibilité : un don qu’il a découvert plus tard, c’est celui de se rendre invisible. Bien sûr, il peut être perceptible quand il bouge car il déforme les lignes d’horizon et donne un effet trouble. objet(s) magique(s). il porte un simple cordon de cuir avec un solitaire dessus. On penserait à une petite coquetterie, mais cette pierre permets à la Sorcière de le retrouver. C’est comme une puce géo-localisé. Il a aussi un petit carnet et une plume. C’est très simple, c’est pour réécrire des éléments qu’il faut effacer sur Riorim. Son outils de dernier recours et il est très bien caché. Il n’aimera pas que quelqu’un se mette à faire n’importe quoi sur l’île avec, sans savoir. Il est très délicat à utiliser. Il ne peut que camoufler un défaut, pas le faire entièrement disparaitre. Pour ça, il faut demander à la Sorcière et s’il doit aller lui demander, il allait passer un sale quart d’heure. groupe. fidèles avatar. dane deHaan
Anecdotes
Son pouvoir d’invisibilité, il l’a découvert assez tard. Il avait bien entamé la vingtaine. – Ca fait cinq ans qu’il passe parfois son temps à aller épier la Reine de Coeur, sans être vu. – Il est très malin. Il aime s’instruire, apprendre de nouvelle chose, s’informer, se cultiver d’anecdotes intéressantes et ou parfois inutiles. Il aime les sciences, comprendre comment marche les chose, les étoiles le fascine, les bons romans le transportent, ... Et bien sûr que c’est une fierté chez lui. Les White-Rabbit on toujours été des personnes très intellectuels. – S’il a un autre talent qu’il garde rien que pour lui, car c’est son exutoire : c’est le dessin. Il adore griffonner. – Bien sûr qu’il aime les carottes, mais surtout les fruits et encore plus les fraises et la mangue. Il en mange tout le temps, dès qu’il a un creux et à chaque repas. Une pomme par-ci, un kiwi par là, des fraises pour son champagne, une bonne banane après son petit saut dans la piscine, ... – Il a peu de patience avec les gens cons ou idiots. – Et pourtant... Il ne respire pas toujours d’une grande intelligence. – Il a l’air insolent comme ça, joueur et légèrement provocateur mais il finit toujours pas se plier devant les désirs de la Reine de Coeur ou The Witch – Il a un petit coeur plein, surmonté d’une couronne vide tatoué derrière l’oreille gauche. – Il est un peu lâche, influençable, achetable, mais surtout cynique, mauvais, rancunier et ironique. – Il adore les boîtes à musiques. Ses préférées sont celles avec des petits automates ou des danseuses. – Il se cache derrière l’enfant-roi sûr de lui, écrasant les autres, c’est sa façon de se protéger. Il a eut une éducation et malgré sa place il a du sang bleu, issu d’une grande famille dans sa communauté de Lapin et il ne l’oubliera jamais. Ou presque. Y’en a marre de le traiter comme un simple animal. Sauf qu’il en fera payer ceux qui sont sous sa surveillance. C’est tellement plus facile. Il ne doutait pas que la Sorcière lui avait choisi cette place de fils de riche pour lui rappeler cruellement ce qu’il avait perdu plus d’une fois. – Il adore humilier les gens pour compenser ses propres humiliation, vécues et à vivre. Sa plus grande victime à ce passe-temps, c’est Robyn. – Il est brisé, désespéré, angoissé, douloureux, pessimiste, puérile, aliéné, nerveux – Il aime assez qu’on le flatte mais ne se montrera pas forcément moins abject. – Fier, arrogant, vicieux, manipulateur, méticuleux, cultivé. – Au fond de lui, c’est quelqu’un de gentil et de bon, mais cet personnalité en lui a trop souffert pour se montrer aussi facilement – Il aime rire et profiter de la vie en général, mais les choses simples lui font souvent un bien fou. A trop porter sur ses épaules, il le faut parfois. – Il a du utiliser son carnet magique une fois, car un dragons passant au-dessus du dome avait été vu. La bonne blague. Surtout qu’il n’y avait aucune explication à ce qu’on le voit. Il a orienté ce souvenir sur un avion de chasse. Beaucoup de bruit et assez gros pour combler l’impressionnant impact qu’avait eu ce dragon.
questionnaire.
Votre avis sur la magie ? La magie, elle est importante et c’est ce qui fait que leur monde est si riche en objets, en risque, en histoire, en expériences, en surprises et ... On en passe. C’est l’essence même de Vesta. Elle existe depuis le début, du moins il en est persuadé. Jamais il n’a lu ou entendu dire, même dans les textes les plus anciens que la magie n’était pas. Les Atlantes sont un peuples qui ont vécus des millénaires et sûrement les plus vieux sur ces terres et leur magie est si poussée et pure. Il ne faut pas en voir que du mauvais pour Louis. La magie à du bon et de l’exceptionnel. Elle permets des choses uniques, la création d’être et ou d’une magie insensée ou d’une vitalité inimaginable. Elle est difficile, mais il suffit de comprendre l’histoire d’équilibre pour s’en sortir. Est-ce qu’il craint que le monde n’explose sous ce manque d’attention à l’équilibre avec la magie. Cela se peut, mais les idiots n’auront qu’à s’en prendre à eux même. Il n’est pas non plus assez bête pour ne pas profiter de la vie qu’il a et espère que lorsque ce jour arrivera, il sera déjà mort.
Quelle était votre place avant le conflit avec The Witch ? Là où elle aurait du être jusqu’à la fin de ses jours sûrement. Auprès de la Reine de Coeur. Parfois il aime s’imaginer avec elle dans dix ans à élever leurs enfants illégitimes. Pourquoi pas. Cela aurait pu finir ainsi. Ou alors dans leur vieux jours et elle le frapperait de sa canne car son thé est tiède. Sa loyauté, après peut-être vingt ans passé avec Aliénor, conditionné, il ne la voyait pour personne d’autre. Après tout, il avait un toit, à manger et était blanchi. Que pouvait-il demandé de mieux, le tout dans un palais imprenable ou peut-être qu’on arrêterait de le traquer pour l’utiliser. Enfin... Jusqu’à ce que The Witch se montre un peu trop ambitieuse.
Pourquoi ce camp ? Bah, on ne le lui a pas trop demandé. Un soir, la sorcière en ayant eu marre de le lui demander, elle a décidé qu’elle le prendrait tout simplement. Capturé, enfermé et son coeur volé, il lui est entièrement dévoué qu’il le veuille ou non. Il n’a pas le droit de demander de l’aide à sa Reine ni même de lui expliquer et encore moins de partir et faire sa vie. Donc il est coincé depuis cinq, presque six ans. Il fait avec maintenant, et il attends que le temps passe. Après, il n’hésitera pas à partir dès que la moindre occasion se présenterait.
Comment voyez vous le reste de Vesta ? Il en avait pas une grande estime. Surtout en tant que natif de Wonderland, Vesta lui parait très... Si... Différent ? A vivre dans marginalité, le commun en devient marginal. Pour lui, ce n’était qu’un sous-peuple, ou sous-espèce incapable d’être autonome et obligé de se fondre dans la masse, grignotant la moindres parcelles autour des grands pôles fermés aux petites-terres de Vesta. Voilà ce qu’il en dirait dans sa globalité, mais il a foulé certains endroit en dehors des royaumes autonomes, et il en a vu et appris des choses. Il y a partout, des éléments qu’on ne trouve pas ailleurs et qui sont d’un grand pouvoir ou d’une grande rareté, voire particularité. Tout comme chez les Gaïens. Heureusement qu’il est plus curieux qu’il ne juge, car il aurait pu rater l’occasion de connaitre certain endroit, savoir quel créature il fallait se méfier et lesquelles pouvaient être utile, sans parler de poison et vivifiant. Il y a autre chose que le Thé.
Voulez-vous vivre autre-chose que cette vie ? Au final, il est un peu un exilé aussi. En quatre longues années, il a eu le temps de s’habituer à vivre sur l’île et gérer sa deuxième vie pour mieux surveiller celle de toutes les autres sur l’île. Il est bien là-bas à mieux y réfléchir. Il était un peu le Tout-Puissant sur Riorim, le seul (ou presque) à savoir ce qui se passe, à contrôler tout aussi. Il avait ce pouvoir. The Witch ne l’emmerdait pas, et quand lui s’emmerdait, il s’en prenait cruellement aux insulaires, par des petites crasses quotidienne. Bien sûr, si on lui proposait de quitter sa place de gardien de tour d’ivoire, il se débarrasserait de ce rôle bien volontiers. Il essaie simplement de trouver du bon dans le mauvais.
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pseudo. kiwi prénom. kim gyllenhaal âge. 27 ans pays. France fréquence de connexion. admin inventé ou scénario. prédef comment avez vous connu le forum. admin code du règlement. admin commentaires.
Louis White-R.
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Louis White-R.
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Un jour, j’aurais la foi de refaire mon profil que Robyn à pourri un jour... xD
Je suis passé de espèce-ancienne à animal-de-compagnie.
Il avait déjà six ans quand il est arrivé dans la famille royale de Wonderland. Mais six années, pour son espèce ce n’était rien. Les Grands Lapins sont connus pour avoir une longévité plus grande que la moyenne humaine, donc leur croissance prenait plus de temps en proportion, les forgeant à être plus redoutables et intéressants en vieillissant. Leur croissance était longue, car plus importante. Pour le jeune Louis, il ne lui fallut pas longtemps avant de comprendre ce qui l’attendait ici dans ce palais. Six ans qu’il entendait ces histoires : ils avaient été chassés, capturés ou tués car ils ne voulaient pas servir les prétentieux qui voulaient s'approprier leurs capacités ou par simple curiosité. Six ans, qu’ils entendaient qu’ils – la famille White et March – étaient les derniers de leur espèce. Et ils ont fini par mourir pour les protéger. A ce moment il avait perdu la trace de Edmund, son cousin le Lièvre et lui avait finit là. La jeune Reine, Aliénor avait exigé que ce lapin serait pour elle. Il était devant le Roi et la Reine de l’époque, entouré de garde dans se belle fourrure blanche et ses grands yeux de lapereaux. Ils venaient de perdre ses parents… On accepta qu’il soit à la princesse, comme un vulgaire objet. Elle l’attrapa par les oreilles. Louis s’était débattu. « Viens on va jouer à la dinette avec mes poupées ». Six ans d’histoire sur la grande origine de sa race et maintenant il était là, face à la déchéance de son peuple. Il y avait de quoi avoir honte. Et le lapin grandit avec la princesse Aliénor.
Les caresses, elle avait prit du temps à les apprendre. Parfois, elle lui caressait le poil mais souvent, elle le baladait comme une peluche. Puis elle ne le voulait qu’en lapin. Des baffes qu’il se prenait s’il restait en humain. Bon en humain à oreille de lapin, ça passait. Combien de fois elle l’avait fait tomber, qu’elle lui avait marché dessus, volontairement ou involontairement, même s’il était fatigué, il fallait qu’il joue avec elle. Ah et aussi quand elle voulait quelque chose, il était délicat de refuser. Souvent les punitions l’encourageait à ne pas recommencer. Elle était jeune, elle faisait ses expériences. Elle était aussi une princesse et tous lui était permis. Mais elle grandit et il y avait plus de place à la tendresse.
Il courut si vite, qu’en tournant à la porte, il manqua de glisser. Il avait finit dans la bibliothèque et bondissait entre les rayonnages jusqu’à la grande fenêtre. Grimpant sur le rebords où se trouvait des coussins et donnait vu sur l’immense jardin, ses pattes de lapin devinrent des jambes humaine qu’il remonta derrière le rideau. On criait son nom dans le couloir. Il se sentait bien ici dans cet endroit. « Louis ! » résonna si fort la voix d’une princesse exigeante à qu’elle en fit trembler les rayons. Louis tira un peu plus sur le rideau. « Tu es là ??? » laissait-elle trainer sa voix en entrant. Elle aussi savait ô combien Louis aimait se réfugier ici. C’était son terrier. Il était fichu. Non, il n’avait pas envie de la voir. Il en avait marre. Il était fatigué. Il n’était pas d’humeur. Toutes les excuses étaient bonnes pour qu’à ce moment t, il ne veux pas. Il en tremblait. Le rideau fut tiré et elle poussa une exclamation. Louis cria, ne sachant à quoi s’attendre. Elle se jetait sur lui et le serra dans ses bras. « T’es là, je pensais t’avoir perdu » lui murmurait-elle en le serrant si fort. Il reprit sa forme de lapin et frotta sa joue contre la sienne.
Les filles avaient grandit et leurs bêtises aussi. La cuisinière déboula dans la chambre d’Adèle. Les soeurs s’y trouvaient toutes les trois. Elle était folle de rage. Elle secouait son doigt comme une matraque prêt à les punir. « Vous avez encore jouer dans la cuisine ! Qu’est-ce que je vous avais dit ? Que si je vous y reprenais, ça allait chauffer. Qu’est-ce que vous cherchiez hein ! Vous avez tout dérangé ! Un vrai bordel des terres arides ! » et les filles se regardaient médusées. Après avoir crié, elle les passa eu peigne fin et retrouva du chocolat sur la jupe et des miette dans la dentelle des manches d'Aliénor. Elle se sentait idiote. Louis était présent aussi, assis prêt d’une fenêtre, il détournait son regard pour cacher son sourire. La cuisinière secoua attrapa Aliénor par l’oreille « Attends que j’en parle à ton père ! ». La cuisinière sortit en claquant la porte et un rire échappa au Lapin-Blanc. Aliénor tourna alors lentement la tête. Elle savait que c’était de sa faute. Elle lui fondit dessus pour le rouer de coup et l’insulter. Louis ricanait et essayait de se défendre contre les attaques de la princesse. Les deux autres soeurs les regardaient exaspérées et ne comptais pas soutenir l’aînée. Encore moins son animal de compagnie. Il réussit à se défiler et elle lui courut après dans la maison, pour qu’ils finissent par faire de la lutte à même l’herbe du jardin et s’écrouler l’un à côté de l’autre, éreintés. Elle ne l’avait pas raté et avait payé sa mauvaise-blague. Sa mâchoire le lançait encore du livre qu’elle lui avait jeté en chemin. « Petit con ! » La tête l’une près de l’autre, les corps éloignés, il leva le bras pour claquer lourdement sa main dans celle d’Aliénor qu’il serra avec force. « Sale garce ! » lui répondit-il en fermant les yeux avec un petit sourire.
Le royaume s’est fendu en trois régions distinctes. Elle avait sa main qui lui écrasait la gorge, plaqué contre un pilier de la salle du trône. Elle lui reprochait de lui avoir apporté des ennuis à avoir ramener cette arrogante Alice sur les terres de Wonderland. Elle finit par le jeter par-terre, le rejoignant d’un pas déterminé avant de lui donner un coup de pied dans le ventre. Louis se tordit de douleur, s’entourant de ses bras pour se protéger d’une nouvelle salve. Il ne disait rien. Il n’avait rien à dire. Comme toujours, il attendait que ça passe. Elle était en colère et impulsive. Il s’y était fait. Elle le punissait aussi souvent que sa passion le lui soufflait, or il était vrai qu’avec Alice, il y eut une période où il s’est prit des baffe un peu plus souvent. Puis peut-être qu’il l’aimait un peu trop la Alice au gout de la Reine de Coeur. « Mais pourquoi ?! Pourquoi tu me fais ça ? » lui dit-elle la voix brisée. « Je te fais quoi ? Je ne fais que te servir corps et âmes... » demanda Louis toujours recroquevillé sur lui-même, se tortillant pour la chercher du regard. « Arrête ton insolence ! Pourquoi tu me pourris la vie ? C’est de ça dont je parle... Je me demande pourquoi tu m’as suivie. » chuchota t-elle dans une plainte. « J’aurais du me débarrasser de toi plutôt que d’avoir eu la gentillesse de t’accepter à mes côtés pour me servir !!! » avait-elle hurlé sous la colère explosive qui l’animait. Elle se demandait pourquoi il était resté à ses côtés lors de la rupture sororel alors qu’il avait eu l’occasi De partir. Louis eut un rictus suffisant et amusé. Il se tourna alors et s’allongea sur le dos, les bras et les jambes écarté. Son sort lui appartenait. « Que tu crois, il m’en faut plus que ça pour que je te lâche... Tu m’as élevé à ça... Je suis désolé. ». Elle le toisa. Au fond d’elle elle était satisfaite, mais elle ne laisserait rien paraitre. Un autre coup de talon dans son sternum et elle lui coupa la respiration. Elle l’enjamba en le laissant subir la douleur de sa servitude en silence.
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Louis White-R.
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Il n’était pas facile à avoir quand il avait décidé de ne pas être vu. Or, The Witch avait réussi à le coincer alors qu’il parcourait le Merveilleux, l’humeur qui se disait à la balade mais il avait bien d’autre projets pour la Reine de Coeur ou encore personnels. La sorcière avait simplement commencé par discuter avec lui. Une fois, deux fois, trois fois, … Elle lui promis Monts et Merveilles, le libre arbitre de ses choix, l’occasion de se libérer de sa situation, ou n’importe quel chose qui aurait pu le toucher pour qu’il lui mange dans la main. Il l’avait écouté, la tête pleine de fantasme mais. « Je me vois dans l’obligation de refuser. Je ne peux pas. Ma dévotion est pour une autre. Je n’ai pas le choix. » lui avait-il répondit et elle répliqua qu’il suffisait de la suivre et elle le protégerait. Louis secoua la tête, nerveux et las avec un sourire ironique et douloureux. « C’est plus compliqué que ça. Vous ne pouvez pas comprendre et… Je suis en retard. Mieux vaut que je rentre avant qu’elle ne sache de quoi je parle avec vous. » et il disparut dans un terrier avant même que la Sorcière ne puisse faire un geste. Elle serait patiente. La prochaine fois, elle ne lui laisserait pas le choix. Elle en avait marre de jouer. Si elle voulait un Grand Lapin, il était sa seule occasion car son cousin le Lièvre était beaucoup trop spontané et instable pour lui mettre la main dessus. Lorsque Louis rentra, la Reine de Coeur savait tout. Ou presque. Comment ? Louis n’avait pas besoin de le savoir, il s’en moquait. Ils se disputèrent et il insistait en lui disait que sa loyauté n’était que pour elle. Elle ne voulait rien entendre et le sévit en l’enfermant au cachot pour une durée indéterminée. Ce qui voulait dire quand elle serait calmé et elle était rancunière. Il préférait quand elle le cognait.
Et le jour où il dut se lier aux caprices d’une autre dame arriva. En pleine nuit. Elle l’avait traqué des mois avec une poignée de fidèles, puis elle le trouva enfin. Ils lui tombèrent dessus. Ils étaient quatre sur lui et il eut beau se débattre comme un déchainé. Il abandonna sous les coups des soldats qui ne le ménagèrent pas. Le seul ordre était de le laisser en vie. C’est qu’il était coriace. Il reçut alors un violent coup derrière la tête et il perdit connaissance. Quand il rouvrit les yeux, il était immobilisé au milieu de la pièce par des chaines suspendues à chacun des murs de sa cellule. Son corps était coincé dans une camisole en cuir rigide. Il était à genoux, la tête bien basse. Les gouttes d’eau qui s’écrasaient sur la pierre et résonnaient dans les sous-sols le berçait. Des pas se firent entendre. C’était elle, la Sorcière. Il n’avait même pas la force de se lever. « Vous faites une connerie… Si la Reine de Coeur sait que vous lui avez prit quelque chose qui lui appartient… Vous êtes folle ! Elle va venir me chercher. » avait-il murmuré avant de ricaner. Il l’espérait qu’elle viendrait. « Vous vous rendez compte qui vous osez emmerder ? On a rien a voir avec votre petit peuple vestien. » et la sorcière ricana à son tour face aux menaces de la précieuse créature. « J’espère bien qu’elle viendra et… Elle verra que je ne lui ai rien prit, mais que c’est toi qui est parti. ». La lapin la regarda incrédule, n’ayant pour s’accrocher que le triste espoir qu’Aliénor viendrait le chercher. Il en doutait. La flamme qui brillait dans les yeux de la Sorcière n’annonçait rien de bon.
Il sentit son corps se soulever malgré lui. Une force qui ne venait pas de lui, tirant sur sa poitrine. La sorcière faisait danser ses mains en chuchotant une incantation. Puis elle serra le poing et Louis sentit son coeur cesser de battre. Elle relâcha doucement la pression et tirait dans l’air avec cette même main. Cela lui fit comme une pointe en pleine poitrine. Il résistait non pas contre la douleur comme il le pensait, mais retenait ce qu’on cherchait à lui prendre. Elle joignait sa deuxième main à ses mimes et il poussa un hurlement. Ce n’était pas réellement que cela lui faisait mal, mais que son âme ne l’acceptait pas, comprenant avant la raison du lapin ce qui allait se passer. Son coeur se mit à flotter entouré d’une aura couleur saphir. La sorcière le mena, sans le toucher, jusqu’à un bocal où il continuait tranquillement de flotter. Il paraissait nervurés de traits sombres, grésillant tout autour comme des petites mailles, enchainé. Elle lui avait prit son coeur et avait tout pouvoir sur lui. Enfin bien assez pour le plier à sa volonté. Et il en fit vite l’expérience.
Aliénor était venue et même s’il n’avait plus de coeur, il senti un pincement à la poitrine. Il avait compté les jours avec la peur au ventre qu’elle le laisse pourrir ici. Elle était là. D’un regard de la sorcière, il se retourna et fut incapable de bouger. Il lui tournait le dos. Elles échangèrent quelques politesses hypocrites. « Je viens récupérer mon Lapin Blanc… » ordonna Aliénor, tout en tournant lentement un regard à Louis. La Sorcière lui offrit un demi-sourire. « Mais faites. Demandez lui... Il est venu de son plein gré. ». Louis ne prit pas longtemps encore une fois avant de comprendre ce qui allait se passer. Aliénor lui ordonnait de venir, mais il ne pouvait pas bouger. Les poings serrés, il puisait dans toutes ses forces et sa voix était coincée dans sa gorge. Il ne pouvait rien dire. Il ne pouvait pas lui crier à l’aide. Elle insista et lui hurlait dessus. « Mais regarde moi au moins, si tu veux ne pas me répondre ! » s’égosillait-elle, folle de rage. « Dis moi en face que tu veux rester avec elle ! ». Elle était trop fière pour aller le prendre par la main et le trainer. Elle était blessée. Une telle lâcheté de sa part et avec elle. Il la dégoutait. Il n’avait pas bouger. Louis avait tellement envie d’hurler à son tour. Les larmes coulaient toutes seule de colère et de désespoir. Il voulait se retourner. Il était à bout de force et son corps trembla à peine, mais ses muscles le brûlaient et la sueur perlait sur ses tempes. Aliénor s’en alla en claquant la porte. La sorcière relâcha son emprise sur lui. Louis s’écroula à genoux et eu tout le loisir de crier la douleur indescriptible qu’elle lui avait infligé. C’était dégueulasse. Il n’avait rien demandé. « Tu vois ce que je peux faire d’un regard. Si tu lui parles, que tu lui demandes de l’aide, que tu lui expliques… Je la tuerais de tes mains. » lui avait-elle annoncé la couleur dès le début.
Il finit par accepter son sort après un temps de maltraitance et d’assez bon argument d’intimidation. Puis, lorsqu’il se montrait docile, il avait plus de confiance de son geôlier et des privilèges. Il était récompensé et presque reconnu. Enfin, fallait pas pousser non plus. Avec le temps, il a préféré vivre avec et se lamenter quelque fois en solitaire, se vengeant par son insolence innée. Il le payait cher assez souvent, mais c’était tellement jouissif de pouvoir la remettre à sa place que ça en valait la peine. Le soucis, elle n’avait rien à voir avec Aliénor. C’est à ce moment qu’il l’avait remarqué. Remarqué que son premier tyran lui manquait. Tant d’expérience partagée depuis leur enfance et des années de servitude, ça ne laissait pas de marbre.
Pendant des années, il a donc servit The Witch. Cinq longues années, et les dernières à chasser les infidèles, déplacer la Sorcière aux quatre coins du monde, et comment elle le remercia alors qu’il avait travaillé nuit et jour ? Elle l’envoya faire le chien de garde sur Riorim.
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Ah là pour le coup, il l’avait mauvaise. Une vie à jouer le larbin – voire deux. Il avait continué pour des idiots qui ont voulu s’attaquer à The Witch car ils avaient mal prévu leur coup. Ils n'ont pas géré leur affaire et c’est lui qui devait avoir la pire place sur tout Vesta. La vie sur cette île était risible et il y avait des perles qui habitaient ces terres. Il devait prévoir toutes leurs bêtises qui pourraient briser l’équilibre de leur illusion. Il y avait des failles et son travail était de les cacher à tous les habitants de l’île. Et comme il a une patience qui a ses limites comme la plus part des gens, il a décidé que vu qu’il était seul sur ce bout de terre – car The Witch passait rarement voire pas du tout – il se vengerait sur les insulaires. Personne ne se rappelait de quoi que ce soit, tout n’était que fables dans leur quotidien et leur vie, alors pourquoi il se gênerait ? Sa place dans cette illusion était parfaite pour abuser de son pouvoir. Fils de M. Woods, le « roi » de Riorim, il n’y avait rien de mieux pour laisser déferler sa colère, sa rancune et cracher un petit peu son venin. En plus, il y a des têtes qui méritent qu’il en profite pour être un connard-fini.
De la méchanceté gratuite et puis franchement, ça fait du bien. J’en ai plus rien à foutre. Pourquoi je me taperais tout le boulot en courbant l’échine et sans rien faire, attendre tranquillement et patiemment qu’ils vivent leur vie parallèle et absurde. Fade… Une vie d’ignorants désespérant. Je suis comme un Maitre de Jeu dans une immense Grandeur-Nature. Ou… Je me montre adorable et gentil pour les personnes qui pourraient m’être utile par la suite. C’est l’occasion ou jamais de s’attirer la sympathie de certaine personnalité. En espérant que si les temps changent, elles n’oublieront pas tous les sacrifices et efforts que j’ai fais pour eux. Quand le Chat n’est pas là, les souris dansent.
.un prince
Il sortait du salon de thé Les Petits Pains, son gobelet de café allongé à la main et un sachet avec son habituel cinnamonroll. Il entendit des pas s’accélérer derrière les siens et son nom fut crié dans la rue, le souffle coupé. « Louis !!! ». Il fit mine de ne rien entendre, baissant ses lunettes de soleil du haut de sa tête sur son nez et continuait son chemin. Il but une gorgée de café et on lui attrapa la manche de son blaser. Il faillit avaler de travers. Il se figea, comme souillé par ce contact, reculant même d’un pas. « Bonjour Louis ! Dis moi, j’ai eu un entretient au Conseil l’autre jour et… » et il lui expliquait sa crainte qu’une bête sauvage et dangereuse se trouvait dans la forêt de l’île. Il travaillait à l’observatoire, normal qu’il puisse en avoir peur, mais il n’y avait aucune preuve. Ce serait un ours. Ah ! Mon cousin et ses lubies. Harris... Il va tout me foutre en l’air avec ses conneries. Sa plainte n’avait toujours pas eu de réponse. « Si jamais tu vois quelqu'un, tu pourrais lui en parler ? Lui en glisser deux mots… Ou a ton grand-père… Savoir où ça en est... » hésita la voix du jeune astronome qui ne manquait pas de culot non-plus.
Louis le dévisagea un long moment avant d’étirer un rictus mauvais. « Tu te prends pour qui à me toucher comme ça et me demander ce genre de faveurs ? T’as cru que j’étais ton larbin ? Ah... Ou alors t’as simplement pas le courage d’y aller toi même, car tu sais que t’es complètement allumé. Un ours sur l’île ? Et puis quoi encore ? Un loup ? Mieux... un lynx ! On en a rien à foutre de ton ours. Y’en a pas ! Y’a que des putains de phoques... » lui avait-il sifflé avec dédain. Le jeune-homme ne dit rien, figé dans une expression entre la déception et la colère. Il avait les larmes aux yeux.
Il n'avait que vingt-cinq ans et était assez sensible. Il avait si peur. « Mais, j’ai des photos d'empruntes. Et l’arbre brisé, puis griffé !? » tentait-il avec desespoir de sensibilisé le fils du Maire à sa cause. Louis avait soupiré et continué son chemin. L’astronome lui courut après et l’attrapa par la manche. « S’il te plait ! » l’implora t-il alors que le lapin se libéra sèchement de sa prise. Il lissa son blaser et soupira plus fort encore. Un silence. « Okay ! Je lui en parlerais si j’ai le temps… » dit-il pour en finir, jouant la sincérité comme s’il lui rendait un grand service.
Il croisa son grand-père plusieurs fois dans la journée et même certains conseillers mais il ne pipa pas un mot à ce sujet.
.auberge neverland
Il poussa le portail qui grinça légèrement sous son geste lent et délicat. L’immense clôture de ferme était branlante. Il toqua à la porte de l’auberge. Trois ans que cette vieille ferme avait été retapé et transformé en maison d’hôte. On tira le rideau sur la benêtre de droite. Un jeune brun bouclé. Louis attendit. Un éclat de voix. Quelqu’un qui râlait et un autre qui lui disait de se calmer avec fermeté. On lui ouvrit enfin et on l’invita à entrer avec un grand sourire. c’était l’autre jeune associé à la tête de l’Auberge Neverland. Le nom était perturbant, mais à en voir les jeunes qui s’en occupaient, ils étaient assez perchés pour lui laisser l’espoir qu’ils ne savaient rien.
Louis venait pour une visite de routine qu’il disait, mais officieusement c’était pour les surveiller et fouiner. Dès le début, il y avait quelques chose de bizarre avec cette communauté qui « allait et venait » sur l’île. Ce qui en soit était impossible. William lui apporta le registre et d’autres documents pour lui assurer que tout était en ordre. Ce n’était pas son travail en tant que fils du Maire, mais en tant que chien de garde de The Witch. Or il ne lui en avait pas encore parlé. Il lui fallait donc une excuse face à ces « vacanciers », pour garder un oeil sur eux, alors il s’accordait le droit grâce à sa place de petit-fils du Maire de venir vérifier lui-même ce qui se passait ici.
Rien qu’à leur odeur, j’ai vite deviné pourquoi il y avait une faille avec eux et leurs histoires. Des gaïens… Je les connais bien, je passais souvent chez eux. Il ne font de mal à personne pour l’instant. Donc je ne dis rien. J’attends de voir ce qu’ils comptent faire, ce qu’ils savent… Ils ont l’air inoffensifs. Puis ça fait du bien de voir de nouvelle tête. Mais surtout, je suis curieux de savoir comment ils font ? Il y a forcément des portails… Il en restait ! Mais où ? Comment et quand ? J’aimerai bien savoir, ce qui pourrait éventuellement occupée la Sorcière et me laisser à moi une faille pour me libérer d’elle.
Les papiers étaient parfaits. Du très beau travail que ça en devenait perturbant. Et si ce n’était pas des gaïens, qu’est-ce qu’ils étaient ? Pourquoi eux pouvaient quitter et venir sur l’île ? Louis étudiait le registre. Le bouclé se tenait à l’écart et il sentait son regard pesant et méfiant. Il était toujours mal à l’aise en sa présence. Comme s’il sentait que dans cette bergerie, le loup c’était Louis. William disait simplement que c’était parce qu’il était un peu autiste, il ne fallait pas faire attention. Oui ou que je ne lui inspirais pas confiance du tout et il a bien raison. Autiste ou pas, tu devrais te fier à son instinct.
Il jeta le registre sur la table, opinant du chef pour dire qu’il n’y avait rien à signaler et fit un rapide tour de l’auberge. Il espérait à chaque fois, avoir la chance de comprendre ou trouver un indice qui pourrait l’avancer sur ces gaïens. Mais rien pour cette fois non-plus. Ce qui m’inquiète, c’est qu’ils se soient autant fondu au décor.
.rancune
Louis était à la terrasse des Petits Pains avec son grand-père. Ca aurait pu être une petite sortie adorable entre un papi et son petit fils, mais non. Ils parlaient paperasse. Il y avait la semaine du cinéma en plein-air qui allait arriver, et c’était un gros morceau à organiser. Ils étaient penchés sur les plans que Louis expliquait à M. Woods, complètement perdu. Un homme se joint à leur table. Louis l’avait vu il y a un peu plus d’une semaine. Il était le représentant des étudiants du complex scolaire. Il y avait eu une soirée organisée sur le bords de plage non loin de le centre d’étude. Rien de bien méchant. L’alcool coulait à flot au bout d’un moment, parce qu’à trop réviser ils avaient besoin de relâcher la pression. Et le soucis lors de cette soirée, c’est que des mineurs ont réussi à boire de l’alcool. Louis était à cette soirée et il l’avait vu. Le gars était mal mais Louis l’avait rassuré d’un signe de tête. Il lui dit que ce n'était rien, il suffisait de demander aux mineurs de quitter la soirée et faire plus attention. Pour cette fois ça irait. Donc ce jeune étudiant était là pour organiser encore un quelconque événement, histoire de faire la fête et animer leur grande aventure jusqu’aux diplômes. Il prit son temps pour tout exposer au Maire et obtenir son accord. Pour le coup, il s’était rudement bien débrouillé. Il n’y avait aucune raison de refuser ou presque. Le Maire, les fêtes de jeune, ce n’était plus de son âge. Il ne savait s’il devait accepter ou non. Les concepts étaient loin de celle de sa jeunesse à lui. Il ne cachait pas son hésitation les yeux dans le vide et se frottant le menton, puis lança un regard à Louis. « Non, tu ne devrais pas accepter » lui dit alors son petit-fils, comme s’il fut touché par une illumination. « Il a vendu de l’alcool à des mineurs à sa dernière soirée étudiante. » et le regard du Maire se porta sur l’étudiant, l’air sévère. Le jeune-homme resta coi. Il ne s’attendait pas à ça, aussi facilement balancé par Louis devant l’homme le plus important de l’île. Il avait même cet horrible petit rictus suffisant. Pourquoi il avait fait ça ? Parce que l’étudiant, sûrement aussi arrogant que lui, a eu des mots peu glorieux à son égard. Mais alors vraiment pas du tout glorieux et Louis n’avait pas accepté qu’on balance ce genre de chose dans son dos sans sévir.
.swimming pool Sur une chaise longue, le jeune rentier lisait un roman de science fiction. A l’ombre d’un parasol, il était au bord de la piscine en début d’après-midi. Il profitait de cette journée ou il faisait bon à rester dehors avec une limonade. Barbotant dans la piscine, Moïra. Elle sortit de l’eau et essorait ses cheveux juste devant Louis. Il avait lâché son livre pour la regarder. Il était plutôt pensif qu’admiratif. Elle remettait correctement la culotte de son bikini sur ses adorables fesses rebondies et aboya : « T’as pas fini de te rincer l’oeil ! ». Louis était revenu sur terre. Pris sur le fait, sa fierté en prit un coup. Il fronça les sourcils, n’assumant pas. Il la fusillait du regard à travers ses lunettes de soleil. Il ne dit rien et reprit sa lecture. Enfin, il baissait les yeux sur son livre. « Oh ose dire que t’aimerai pas en profiter un peu ? » susurra t-elle, mutine. Elle s’était approchée. Elle était trempée et ses cheveux gouttaient sur son short en jean et sa chemise parfaitement repassée. Elle avait grimpée au bout de la chaise et glissait au dessus de lui, tel un félin. Sa tête apparut au-dessus du livre. Elle se tortillait sur lui avec lascivité. Il la regarda droit dans les yeux un instant avant de laisser lentement son roman tomber sur son menton pour pouvoir descendre son regard sur le reste de son corps. Louis restait un lapin et il n’était pas indifférent à ce genre de démonstration. Il ne pouvait nier que cela ne lui faisait rien. Ni même dire qu’elle était dégoutante, au contraire. Le livre glissa sur le sol et Louis avait brusquement attrapé Moira par le visage pour lui donner un baiser suave. Elle avait poussée un petit cri mêlé de joie et de surprise. L’un contre l’autre, ils se laissaient aller à quelques caresses. Ça leur arrivait quand ils étaient d’humeur et que Louis avait besoin de relâcher la pression. Assise sur lui, il en avait décroché le cordon de son maillot derrière son dos et elle déboutonna deux boutons de sa chemise. Il se leva, la tenant contre lui, les jambes de la brune autour de sa taille. Puis il la jeta subitement dans l’eau de la piscine. Pas aujourd’hui et pas maintenant. « Plutôt crever ! » lui avait-il craché alors qu’elle regagnait la surface, la bouche grande ouverte, abasourdie. Le lapin récupéra son livre et partit le finir dans la bibliothèque du manoir Woods. Au début, leur ligne de vie illusoire, il la trouvait idiote mais avec le temps il avait su en tirer un avantage et y voir les bénéfices. Ils avaient grandi ensemble, depuis leur tendre enfance, avec Elianor qui était la fille de leur nourrice commune. Leur parents avaient espéré que Moira et Louis finiraient mariés ensemble, mais ce n’était pas ça. De la compétition, des blagues mauvaises et fraternelles, de la jalousie, et que tout simplement non. C’était déjà inscrit comme ça depuis leur adolescence. Et depuis l’adolescence, ils jouaient à qui au fond de lui le voulait vraiment mais n’osait pas le dire. Qui assumerait sa faiblesse. Des fois c’était Louis, mais parfois c’était Moïra aussi.
crackle bones
Louis White-R.
S.-Robyn W. Brixton
flightless bird - fairy dust !
S.-Robyn W. Brixton
Écus d'Or : 388
Âge : vingt-deux ans.
Mon Histoire : fée orpheline sur neverland, on l'appela clocharde, même si elle fut vite surnommée clochette avec ses tintements par les enfants perdus et peter pan. + c'est une fée qui avait déjà beaucoup voyagé, étant l'une des rares à avoir foulé le sol de gaïa et y avoir fait des rencontres. + elle était heureuse auprès des enfants éternels, et surtout auprès de peter. le seul nuage dans son ciel bleu était les sentiments qu'elle lui portait. + elle mena sa quête afin d'être son égale, pas juste une petite fée, et afin de vivre sa romance. + elle en perdit ses ailes, littéralement, et perdit ainsi tout moyen de retourner au pays imaginaire. + elle erra de village en village, de terre en terre. elle se prostitua pour grignoter un morceau de pain de temps en temps, vendit tout ce qu'elle avait, excepté la haine qu'elle portait envers celle qui lui avait causé du mal et envers son clan : la fée morgane et les fidèles. + elle fit partie de ceux que l'on appelait les rebelles, et connu le triste sort réservé à la majorité : l'exil. + elle est sur riorim depuis le début. + elle vit moins misérablement que les dernières années à vesta, mais ce n'est toujours pas ça, alors elle se saoule pour échapper à sa réalité. + elle a un enfant avec un mec sortit de nulle part. bref, elle ne mène pas la vie de princesse.
Schizophrénie : adélaïde quincy ; clara o. stahlbaum ; ginger t. wordsworth.
Messages : 503
Date d'inscription : 16/01/2017
Localisation : riorim.
Dim 23 Juil - 23:00
Le grand moment !
C'est enfin l'heure de ta validation.
prout.
J'en suis à un stade de fatigue tellement avancé que j'ai la flemme de te chercher un gif un peu plus fun. Et j'ai aussi eu la flemme de sortir Moïra. Mais osef, Robyn aussi a des comptes à te rendre En tous cas sacré petit con que tu nous fait là, on aurait bien envie de le noyer violemment avant de violer amoureusement son cadavre et sa belle bouille REBIENVENUE
Et même si tu es validé(e), tu n'es peut-être pas encore tout à fait familier avec le forum, alors on ne va pas encore te lâcher dans la nature sans baluchon, rassures-toi. Tu trouveras ici tous les liens nécessaire à ton installation sur ABSIT OMEN. D'ailleurs, peu importe où tu t'es égaré sur le forum, tu trouveras toujours le topic des liens utiles, ça peut toujours servir. Si des questions persistent, n'hésites pas à passer du côté de la FAQ ou d'embêter l'un des membres du staff. Mais avant tout, si tu veux pouvoir lier ton personnage aux autres et répertorier tout ce que tu as besoin de répertorier, tu peux d'office poster ta fiche de liens, ta fiche de rps, et pourquoi pas, si une envie folle te prend, poster ton journal intime. Tu pourras alors te lancer dans l'aventure du rp ici ! Les rps te feront gagner ce qu'on appelle dans le coins des écus d'or. Écus d'or qui t'inciteront à faire divers achats par la suite. Si tu souhaites découvrir ce qui peut t'attendre ou t'inciter à la dépense, je t'invite à faire un tour du côté de la banque, tu trouveras sûrement ton bonheur. Aussi, si tu as besoin d'un certain personnage à tes côtés, tu peux aussi poster dans les scénarii (n'en abuses pas, de toute façon tu es limité(e) à deux scénarii par personnage). Et enfin, si tu as juste envie de ne pas te prendre la tête, je te rappelle que le flood est à ton entière disposition, alors fais péter le compteur de messages ! Et si tu aimes ABSIT OMEN, on t'encourage à faire de la pub sur Bazzart et PRD (ou autour de toi) et voter aux top-sites ! Merci d'être là