Summer Bummer - Lana Del Rey, A$AP Rocky, Playboi Carti
Elle n’était pas contre les avances de Louis, au contraire. Elle l’encourageait en venant elle aussi venir balader ses mains sur son corps. Elle était plus hésitante et sage, mais elle ce qui était sûr c’est qu’elle en voulait. Elle le serrait si fort et se cambrait à chacune de ses caresses. Lui aussi il se laissait porter. Il n’avait pas besoin de voix pour lui dire de simplement profiter du moment présent. Il avait lâché prise dès qu’elle s’était attaqué à son oreille. Elle l’émoustillait, il ne pouvait pas le nier. Ah il était plus que d’humeur libidineuse. Elle était complètement stone, saoule par le plaisir qu’elle découvrait entre les mains du lapin. Il lui demandait si elle était sûr d’elle sur ce coup, avec lui. Le oui soupiré qu’elle souffla contre la cou de Louis le remplis d’un plaisir qui allait au-delà de leurs câlins sauvages sur la banquette arrière d’une voiture. C’était son égo qui jouissait. Il y arrivait. Il allait finir par accomplir son plan machiavélique. Elle me mangeait dans la main. Elle était si NAIVE et FAIBLE !!! Ca lui apprendra.
Lui mordant l’épaule, il descendit, chargeant l’étoile de toutes cette allégresse qui commençait à réchauffer la voiture. Elle lui avait retirer son haut et le chemisier ne cessait de s’ouvrir. J'ai peut-être arraché les derniers bouton, oui. Un coup de sang, c’était parti d'un élan. Elle l’avait tiré, ou il s’était allongé peu importait, pour vu que leur peau se rencontre, sa poitrine contre torse, son ventre contre le sien. Il dut s’avouer vaincu, devant se concentrer un moment pour reprendre son souffle. S’il cela ne tenait qu’à lui, il n’aurait pas perdu beaucoup de temps avant de la prendre sans aucun sentiment sur cette banquette, la ramener chez elle et ils n’en reparleraient plus. Il n’aurait vraiment pas été contre quelques galipettes. Il voulait en profiter juste encore un peu, mais malheureusement – ou pas– elle avait glissé sa main le long de son ventre et entre ses jambes. Il ne s’y attendait pas. Elle était vraiment prête à y aller, sans peur. Sans aucune hésitation. Surpris, elle avait réussit à lui arracher un soupir de plaisir. Il la laissait faire, un très court instant, mais assez pour grogner de frustration. Il lui attrapait sa petite main audacieuse et l’écartait de ses affaires tout en se relevant.
« Tutututut…. On va arrêter les bêtises là hein » commençait-il avec un sourire. Il cherchait son souffle. Il prit place au bout de la banquette, le bras le long du dossier, penché sur elle. « Je crois que t’as aucune idée de ce que tu fais et que tu vas te brûler les ailes… » rit-il légèrement. « Tu crois que toi et moi… y’a un truc, mais non… Ce n’est pas toi. C’est pas toi qui le veux. » Il sortit alors un sachet mauve de sa poche et claqua son doigt dessus. Le sachet se balançait, pendue par son autre main. « C’est peut-être ça. J’en prends en ce moment, t’as du en ingérer par mégarde… Il en reste toujours plein sur les vêtements… » agitait-il la petite enveloppe mauve en papier épais. Il lui jeta le sachet : « Cadeau ! Tu devrais essayer, ça te rend... intéressante ? » dit-il. Il lui en parlait en jouant les ignorants, mais il savait très bien qu’elle connaissait. Mais le petit lapin blanc est toujours innocent voyons.
Il souriait avec un amusement mauvais. « T’es mignonne quand t’es stone. Et j’avoue que je t’apprécie un peu plus, mais… faut pas poussé mémé dans les orties. J’en suis pas encore à en avoir envie de ton adorable cul. » lui mentait-il et elle pouvait le deviner. Elle l’avait sûrement senti même. Encore maintenant, il avait une érection du feu de dieu et il peinait à calmer ce qu’elle avait réveillé chez lui avec ses jeux lubriques. « Dis toi que je fais ça parce que je te respecte. T’es vierge, ça se sent à des lieues. Je te rends un service en m’arrêtant là car crois moi que c’est pas avec douceur que je t'aurais défloré. » lui siffla t-il les dernières paroles en l’attrapant à la mâchoire fermement, son visage proche du sien. Il l’embrassa langoureusement et la repoussa un peu sèchement. « T’as qu’à te dire ça si ça te fait plaisir. Et si ça t’aide pas à dormir, essaie le petit sachet. Ca t’aidera… Allez rhabille toi. ».
Il sortit de la voiture après avoir retrouver son haut. Il l’enfila une fois dehors. « Crois moi que quand tu te réveilleras demain, tu me remercieras. » Alors que moi à part me toucher… J’ai pas vraiment de lot de consolation. Il grimpa sur le capot d’un bond agile et s’alluma une cigarette. Au final je n’avais pas envie de lui faire vivre cette humiliation. J’aurais largement pu. Alors peut-être que c’était trop facile. Enfin, j’avais pas envie d’aller jusque là, comme ça. J’avais pas envie de le faire comme ça. C’est sa première fois, j’en suis sûr. Elle aurait été plus expérimentée, j’aurais pas hésité. Oui. J’ai hésité. J’ai eu et j’ai encore un peu envie d’elle. Il avait tourné la tête pour la chercher du regard, se caressant nerveusement les cheveux qu’il avait dans la nuque. Putain... J'ai des états-d’âme. Ça me rassure un peu quand même.
acidbrain
Louis White-R.
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Jeu 24 Aoû - 2:41
Louis & Carrieta
▽ Falling too fast to prepare for this.
Je n'avais jamais ressenti ça auparavant, la chaleur dans le bassin, les frissons dans le corps, le plaisir qui monte à la tête et qui essaye de me faire lâcher prise. Je crois que je commence à lâcher prise. Je m'offre un peu plus à lui en me collant un peu plus à lui tout en laissant glisser ma main le long de son ventre. Par moment, ma langue trouve des bouts de peau que je lèche docilement quand ils sont à ma porté. Je pensais que les choses sérieuses allaient commencer si je m'aventure plein sud mais il mit sa main sur la mienne et m'empêcha d'aller plus loin.
Je ne comprends pas tout de suite, je papillonne des cils plusieurs fois avant de comprendre qu'il venait de mettre fin pas qu'à la progression de ma main mais à tout ce qu'on était en train de faire. Je sens encore la chaleur de son torse nu contre ma poitrine alors qu'il n'est plus là, adossé au siège il me regarde...
A ce moment là, je crois que j'ai vrillé. Je ne peux pas vous décrire ce que j'ai vécu c'est trop dur il faut le vivre ! Mais pour essayer, disons que dans ma tête pour une fois c'était clair, je devais faire des choses de grands avec Louis ce soir dans cette voiture. Je pensais, j'étais persuadée que c'était ce que je voulais vraiment depuis des jours. J'étais heureuse à chaque instant passé avec ce salopard et j'étais prête à lui donner ce que je n'avais jamais pensé pouvoir donner un jour. A lui. J'étais prête à faire ça et là... Là c'est là que je vrille, il commence à parler et plus il parle plus ses mots virent au ralenti. Je ne suis ni stone, ni saoule, je peux vous assurer que mes pensées deviennent de plus en plus limpides seulement, lui je le vois toujours au ralenti, ses mots, ses gestes.....
Soudain, tout est devenu clair, mais il n'était déjà plus dans la voiture. J'inspire soudainement très fort, je crois que j'avais arrêté de respirer pendant un moment. Je regarde lentement autour de moi, histoire de bien comprendre ce qui est en train de se passer. Ce qui est en train de se passer ? T'as failli te faire violer. Ou salir le nom de ton père. Choisi celui que tu préfères. Raison ? Qui veux-tu que ça soit ?! Pou....Pourquoi tu n'es pas venue plus tôt ? Je ne pouvais pas puisque tu avais l'air de t'éclater je ne voulais pas être le frein de ton amusement. Raison... Je crois que ce n'est pas le moment..... Je... Je comprends pas trop ce qu'il se passe....
*Pendant que je discute avec moi-même, je suis en plein black out, je suis en train de me rhabiller mais mes mains tremblent tellement que je rate tout les boutons au moins deux ou trois fois... Pourtant je n'ai conscience de rien... C'est comme si j'étais un automate. Tout mon corps tremble et les larmes coulent toutes seules*
Ce qu'il se passe c'est que ça fait des jours qu'il te drogue à ton insu dans le but de..... Je ne sais même pas dans quel but si au final il ne t'a pas eu.... Peut être simplement l'humiliation.... Oui ça doit être ça car comme par hasard il s'agit du même champignon qu'au Pays des Merveilles donc lui aussi, il sait parfaitement où en trouver.... J'ai si mal au cœur.... Je me sens si.... Mon dieu.... Tutut ma chérie, pleure ça fait du bien, je suis désolée de ce qui t'arrive mais on ne t'y reprendra plus je te le garanti...
Non. Ça c'est sûr. Soudain, je reprends possession de mon corps si je peux dire et je relève la tête alors que j'ai encore des traces de larmes sur les joues. Je regarde sur mes genoux il y a le petit sachet. Je l'ai prit et l'ai serré de toute mes forces, je sais très bien d'où il vient et qui lui a donné. Moi je pense que tu devrais le lui faire payer. Prends ton courage à deux mains et règle lui son compte ! Oui. C'est ce que je dois faire. Je prends la bouteille de rhum et je sors lentement de la voiture. J'arrive devant Louis et le regarde, au début j'ai envie de vomir mais ca passe car la haine a prit le dessus. Encore. Je le regarde avec des yeux si noirs que je m'étonne de voir encore en couleur....
- Tu m'as drogué et tu as abusé de ma confiance....
Je ne suis pas sûre qu'il ait entendu, je ne sais pas vraiment si je le dis pour lui ou pour moi mais en tout cas, le fait de le dire m'a fait l'effet d'une bombe et là j'étais décharnée ! Je m'approche de lui si rapidement que j'ai du fendre l'air ! J'attrape ses parties génitales d'une main et de l'autre, celle qui tient la fameuse bouteille de rhum et le petit sachet, je fracasse la bouteille contre le capot de la voiture et avec le morceau qui me reste en main je menace dangereusement sa gorge. Je suis prête à lui enfoncer dans la gorge jusqu'à voir la dernière lueur de vie quitter ses yeux. Vas y, qu'est-ce que tu attends ! Ça va te plaire, ça va te plaire peut être même plus que tout à l'heure dans la voiture. Mais faut essayer pour savoir et puis après tout ce qu'il t'a fait il le mérite.... Tu ne crois pas ?
- TU M'AS DROGUE ET TU AS ABUSE DE MA CONFIANCE !
CARRIE ! Après le viol tu veux régler ça dans le sang ? A la place d'être une traînée tu veux devenir une meurtrière ? Et si tu redevenais la Carrie que tu aimes, la Carrie que ton père aime.... Ça suffit Carrieta, on s'en va.
Mes yeux deviennent moins noir et je lâche tout ce que j'ai dans les mains tout de suite, sauf le sachet qui est resté collé à ma ma main moite. Je regarde le sol puis je le regarde lui.... le coupable.... Les larmes montent encore mais je veux en finir avec lui avant de pleurer alors au lieu de laisser couler mes larmes, je laisse partir une gifle. Je pense que ça, je peux me le permettre. Je le regarde droit dans les yeux et du revers de la main j'essuie mes lèvres, je ne veux pas de son baiser.
- Je ne veux plus jamais te voir.
Je lui balance le petit sachet dans la tête et je m'en vais en courant et en pleurant. Je cours sans m'arrêter jusqu'à en perdre haleine et j'avais tellement besoin d'exterieuriser que je crois avoir courru au moins 10 ou 12 kilomètres avant de finalement m'arrêter quelque part dans les bois. Je me suis appuyée à un arbre et j'ai vomi.... deux fois. Ensuite j'ai pleuré en me roulant en boule sur le sol. Par moment je prenais des feuilles mortes et je me frottais avec, je voulais faire partir son odeur.... le contact de ses mains.... Je crois bien avoir pleuré toute la nuit.... Je savais que The Witch finirais par me retrouver, surtout si je restais en position fœtus jusqu'à ce qu'elle arrive. Quand deux de ses sbires m'ont trouvés, j'étais comateuse à cause de la déshydratation et de tout ce que je venais de vivre. J'étais en train de faire une redescente de champi et d'alcool. On m'amena à The Witch.
- Qu'est-ce qui t'es arrivée ? !
Je lui ai lancé le même regard noir qu'à Louis, celui qui dit que je n'ai plus rien à perdre. Elle pouvait me tuer sur place, tuer Vidia, réduire en cendre tout un royaume que je n'aurais pas cillé et ma décision aurait été la même :
- Je n'irai plus.
Sans même attendre de réponse, je commence à tituber dans le grand couloir en direction d'une chambre de domestique pour que je puisse me reposer un peu. Ah oui oui je me montre sans gêne. Je pense que c'est ça la vraie forme de courage. Tu veux me tuer cocote bhein tues moi je m'en fiche ! A vrai dire ça m'arrange même, au moins j'arrêterai de souffrir.... Mais je n'irai plus, ça c'est sûr !
Arrivée dans la chambre, je m'assois sur le lit et me serre un verre d'eau, j'en bois une gorgée et le pose sur la table de chevet. Je m'allonge sur le lit en position fœtus et me remet à pleurer. ▲ Carrie
(c) AMIANTE
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Louis White-R.
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Louis White-R.
Écus d'Or : 865
Âge : vite
Mon Histoire : il était un petit navireuh qui n'avait ja-ja- jamais naviguey ohey ohey
ohey oheyyyy matelot ! mateloe naviiiigue sur les flooooots !
Un jour, j’aurais la foi de refaire mon profil que Robyn à pourri un jour... xD
Summer Bummer - Lana Del Rey, A$AP Rocky, Playboi Carti
Elle n’avait rien dit jusqu’à ce qu’il quitte la voiture pour s’asseoir devant, face à la falaise et la mer agitée. Il tirait tranquillement sur sa cigarette pensif. De ne pas la voir ni l’entendre, ça ne faisait que renforcer la culpabilité qui commençait à naitre en lui. Il n’avait même pas de réel but que de se jouer d’elle, lui faire une petite descente aux enfers. Quelle comprenne que la vie ne te fais pas de cadeau… se cachait-il derrière ou réalisait-il ce qu’il cherchait au fond de lui ? Peu importe, il s’inquiétait et il en avait marre. Ca ne devait pas se passer comme ça. Il avait tourné la tête et enfin elle sortit du véhicule. Elle avait le visage sombre et murmura quelque chose. Avec le vent, cela échappa au lapin qui pourtant avait de grandes oreilles.
Rapide, elle s’était alors retrouvé devant lui, et subitement Louis se plia sous la douleur que provoquait la prise de Carrie. Elle le tenait et littéralement, la main sur son sexe qu’elle serrait à travers le pantalon. Il se mordit le poing pour étouffer un gémissement. Non il ne faisait pas le fier et la regardait avec panique. Ses yeux étaient entièrement d’encre et effaçait tout ce qui lui donnait son humanité. Elle lui hurlait des reproches. Elle avait vu le pot-aux-roses. Elle était plus maligne qu’il ne le pensait. Il lui tenait le poignet pour retenir un peu la petite main castratrice de la brune. Sa voix résonnait encore avant de s’évanouir dans la forêt juste derrière eux. Il ne comprenait pas tout ce qui se passait. Quelque chose clochait avec elle, un détail qui lui avait échappé. Malgré l’effroi, il n’en restait pas moins curieux. Ce n’était pas fini, car elle éclata la bouteille sur la voiture et le menaçait du morceau qui avait l’air de montrer les dents. Elle l’avait approché du visage. Sérieusement ?! Il avait mal, mais ça le motivait que plus encore de la darder d’un regard orageux et froid. « Fais attention à ce que tu fais… » avait-il murmuré même s’il n’était pas convaincu de ressortir sans blessure s’il y a un affrontement.
Il était totalement en alerte. Il hésitait entre lui sauter dessus et lui fracasser le crâne à coup de poing jusqu’à ce qu’il se sente enfin détendu, la jouer lâche et disparaitre pour mieux s'enfuir. Puis enfin, elle le gifla et le lâcha pour s’éloigner. Louis encaissa le coup. Elle partit en courant et pleurant. Louis soupira. « Mais t’auras pas le choix ma grande. Tu reviendras vers moi ! Et si c’est pas toi elle t’y forcera ! » avait-il répliqué, mauvais. Il l’avait en travers et il s’en voulait. Ça ne devait pas se finir comme ça. Les mains entre les jambes, il se tortillait légèrement de douleur, essayant simplement de l’oublier. La douleur. Ne pas finir dans la voiture. Ne pas s’arrêter en si doux chemin. De ne pas s’être arrêté. Ca ne pouvait finir comme ça non-plus. Finir par je-la-saute-et-puis-tant-pis. La brune s’éloignait alors que Louis fixait l’horizon le visage crispé de colère. Il tirait avec rage sur sa cigarette. Quand il se savait enfin seul, il poussa un cri primaire d’énervement. Il jeta sa cigarette avec de grand gestes violent, suivit le zippo qui vint s’écraser sur les roches plus bas et rebondir entre les vagues. « Merde ! » continuait-il de pester, en beuglant un bon nombre de juron. Il ne savait pas ce qui le décevait le plus, simplement comme cela s’était fini ou d’avoir peut-être mal gérer ses plans. Son égo ou son humanité ?
Au final le sachet de poudre, c’était lui qui se l’était fait. Pour ce qu’il restait. Juste un peu pour se sentir en pleine communion avec la nature. Les vagues qui traduisaient sa colère, le bruit du vent qui l’essuyait de toute ses fautes et les étoiles promesses d’un monde meilleur. Il émergea enfin pour rentrer au Manoir. Il fermait sa voiture. Il ne la prendrait pas ce soir. Un petit terrier, ni-vu ni-connu et on en parlait plus. Il ramassait ce qu’il pouvait, et rajusta ses vêtements. Un geste de la main et la terre s’écroulait en d’énorme morceaux aspiré par le fond, les racines visibles comme un grillage tout autour du trou. Il allait sauter dans son passage quand il sentit des présences apparaitre juste derrière lui. Cela faisait une demi-heure que Carrie était partie. Il se retourna, étonné et un peu dans les vappes.
Quand il reconnut les sbires de The Witch, il roula des yeux, dépité. Louis savait pertinemment ce qui allait se passer. Le premier lui colla un violent crochet droit et il fit presque un tour complet sur lui met. Le deuxième l’attrapa par la nuque et le coucha au sol. Quelques coups en plus, gratuitement, ils n’y étaient pas aller avec le dos de la cuillère. « Elle nous envoies te dire que tu l’emmerdes et que maintenant t’arrête de jouer. T’as compris le larbin ? » lui cracha l’un des hommes aussi costauds que des gorilles. Il répondit simplement d’un rire nerveux en mouvant avec difficulté. Le deuxième lui redonna un coup de pied dans le ventre et ils brisèrent un cristal avant de disparaitre. Louis frappa l’herbe du poing en poussant encore un cri. Ça ne pouvait pas mieux finir... Pour le coup, c’est son égo qui en avait pris un coup. Il en avait ras le bol. Il craquait, il en avait marre. Oui, il cherchait aussi ce qu’il vivait, mais ça ne l’empêchait pas de ne plus avoir la force de tout porté. Il pleurait de rage et de fatigue. Il était si fatigué et en détresse mentale. Il n’était pas fort tout le temps. Au contraire. Il était faible et parfois il n’arrivait plus à prendre sur lui. Pourtant cette façon de vivre était devenue une douce et dangereuse habitude pour lui et dont il s’est adapté.